(jarek) bang my head

jarek bednar
{citations, paroles de chanson, au choix.}
© image/citation

---

prénom, nom : jarek. ca écorche ta langue. ca arrache ta gorge et ca ne sonne pas comme les autres. prénom que tu porte. prénom que tu change pour le plaisir. prénom dont tu uses pour charmer, ca et l'accent. bednar. patronyme du passé. patronyme qui te rattache à la famille oubliée. que le chaos à la caboche. que les années enfermées à attendre de t'échapper. âge, lieu et date de naissance : quarante-neuf ans. le temps qui file et la folie qui ne te quitte pas. la folie qui reste au fond de crâne et les années qui marquent ton visage. Prešov au mois de mars, le trois mars. origine et nationalité : slovaque de naissance, mais les villes que tu accumules. à chaque trois ans tu change d'endroit. pour ne pas te faire prendre. pour ne pas finir derrière les barreaux. les corps accumulés, les hommes brisés pour te venger. à Londres depuis : depuis un an. il était le dernier. pas d'autre pour le moment, mais la chasse risque d'arriver bientôt. le jeu recommence. occupation : chirurgien. les corps que tu connais trop bien. les corps que tu sais ouvrir et la souffrance que tu aimes créer. statut civil : incapable d'aimer, coeur à l'agonie. orientation sexuelle : tu aimerais être dans la norme, tu aimeras que le passé n'affecte rien, tu n'acceptes pas. tu n'acceptes pas l'attirance pour les hommes. tu te bornes à te diriger vers les femmes. elles peu apte à te faire réagir, quelques unes, de passage. les hommes qui t'attirent, mais tu n'acceptes pas, tu n'assumes pas, tu ne veux pas. quartier de résidence: chelsea. une grand maison pour les crimes. tu as besoin d'espace. statut financier, groupe : l'argent qui ne manque pas. seeds of gold. traits de caractères : silencieux, cynique, perdu, brisé, psychopathe, violent, observateur, intelligent, tactile, patient, réticent, charmeur.

pseudo, prénom : belzé. âge, région et/ou pays : veille. où avez-vous découvert BITS ? bazzart. personnage inventé ou scénario ? inventé. votre avatar : mads mikkelsen. commentaire, petit mot : si vous avez besoin de lien avec un tordu, ma boite à MP est là.

Code:

<f3>mads mikkelsen</f3> - jarek bednar

Les murs qui se ferment autour de toi. Les murs trop blancs. Les murs qui se rapprochent. Le torse du gamin qui se contracte sous la douleur et tu ne sens plus rien que la peur, la peur qui bouffe la moindre parcelle des entrailles. Tu ne sais plus. Tu ne sais plus depuis combien de temps que tu traînes entre les murs. Gamin perdu. Gamin attrapé au vol lors du chemin de retour. La famille oubliée. Le temps enfermé. Le temps que tu ne sais plus calculer. La peur aux tripes. L’homme qui revient toujours pour demander, pour te demander de laisser tes doigts le caresser, le toucher. Tu ne sais pas comment faire. Tu n’as jamais pensé toucher les hommes. Tu n’as jamais eu le temps de découvrir la sexualité.
Tu attends. Tu ne peux rien faire d’autre qu’attendre. Qu’il revienne. Qu’il sème un peu plus de chaos au fond de la caboche, qu’il se rapproche, qu’i laisse un sourire passé sur son visage. Tu ne l’aimes pas, mais tu fais semblant. Quand tu fais semblant, c’est moins compliqué, c’est moins douloureux.
Il te laisse sortir parfois. Dans la maison. Il te regarde. Il t’observe. Tu gagnes lentement la confiance, parce qu’au fond, tu crèves simplement de partir. Tu crèves simplement de foutre le camp de cet enfer. Le temps qui file et les traits qui changent. Tu deviens plus vieux, mais tu ne sais plus ton reflet. Gamin qui devient adolescent. Gamin détraqué. Perdu. Gamin.

C’est le jour de sortie aujourd’hui. T’as le droit de sortir de la pièce. T’as le droit de te balader dans la maison, dans le jardin. Il pense que tu n’oseras pas partir. Tu ne l’as pas encore fait. Tu ne sais pas ce que tu attends d’ailleurs. Le bon moment peut-être. Parce que tu rêves de lui écraser le crâne, de sentir son sang sous la moindre parcelle de tes doigts. Tu crèves de le saigner. De le tuer. Alors t’attends. Tu penses que ça sera aujourd’hui.
Tu ne parles pas. Tu es devenu silencieux. Tu es devenu un fantôme. Les plans qui filent dans ta tête, les plans pour le tuer. Il tourne le regard et tu observes, tu cherches.
Tu sursautes quand il s’approche, qu’il laisse ses mains s’approprier ton corps et qu’il se colle à toi. Tu détestes son odeur. Tu hais la moindre parcelle de son être.
Tu paniques. Tu ne veux pas. Pas maintenant. Ru n’es pas prêt. Tu n’aimes pas les hommes. Tu ne l’aimes pas lui.
Les phalanges qui s’emparent d’un objet. Tu le fracasses au crâne et lui bruit d’os qui se casse te donnes des frissons dans le dos et un foutu soulagement que tu ne peux pas contrôler. Le corps qui s’écroule et toi qui t’enfuis.
Illusion de liberté.

Une autre expérience. Un autre homme subtilisé pour assouvir tes envies de vengeance, pour calmer les douleurs du passé. Tu les tortures. Tu les utilises pour ne pas ressentir, parce que tu n’acceptes pas de les aimer, de les désirer. Tu n’acceptes pas d’avoir changé à cause de lui.
Lui. Lui qui ne ressent rien. Lui qui lasse le monstre de la torture, mais qui te rend curieux, avide de plus, avide de savoir, de posséder. Cette attirance que tu repousses. Ce désir de l’obtenir que tu ne ressens jamais. Bête curieuse. Homme différent qui attire ton attention. Tu n’acceptes pas, tu n’acceptes pas de l’aimer plus que les autres, de le désirer plus que les autres et de ne pas le laisser pour mort.
Tu fais des expériences, tu observes, tu le laisses vivre. Tu voudrais qu’il reste, qu’il ne décide pas de partir, mais tu lui laisses le choix, tu laisses des indices de sortie, tu laisses miroiter la fuite. Tu veux qu’il reste, mais tu ne demandes pas, parce que tu sais que tu n’as rien à offrir. Que le chaos. Que l’attirance que tu n’acceptes pas et tu sais qu’on ne peut pas aimer une bête. Pas comme toi. Pas après ce que tu as pu lui faire subir.
Il s’éclipse et tu ne fais rien pour le retenir. Tu ne peux pas le retenir, mais tu l’aimes. Tu l’aimes plus que les autres. Tu l’aimes à ta façon, mais tu le laisses partir. Parce que tu ne sais pas aimer.

Sil Monroe a écrit:

holy shit.
mads ce mec a une classe de malade, je meurs

si tu veux satisfaire tes besoins d'hommes en secret ...

bienvenue !

Sil a tout dit Le personnage à la classe, mais il le tient sûrement de toi, donc t'as la classe, quoi, , Mads.

Par contre pas touche à Raf si c'est pour le charcuter .
Bienvenue en tout cas et n'hésite pas si t'as besoin de quelque chose

Sil Monroe a écrit:

hum... en effet... je viens de lire ça *tousse*
(JE VEUX PAS MOURIR)
... j'suis la cible parfaite en plus (le mec qui s'enfonce pas du tout)

BREF.

Rafael Reed a écrit:

Sil Monroe a écrit:

holy shit.
mads ce mec a une classe de malade, je meurs

si tu veux satisfaire tes besoins d'hommes en secret ...

bienvenue !

Sil a tout dit Le personnage à la classe, mais il le tient sûrement de toi, donc t'as la classe, quoi, , Mads.

Par contre pas touche à Raf si c'est pour le charcuter  .
Bienvenue en tout cas et n'hésite pas si t'as besoin de quelque chose

Jarek Bednár a écrit:

t'aime bien te faire torturer, avoue

Jarek Bednár a écrit:

SI SI. je le vois

Cy Grebson a écrit:

bonjour, je peux t'épouser et te faire sauvagement l'amour, plusieurs fois ?