même cassé, ivre mort (lou).

{So much stuff you got to understand}
⊹ 01. depuis qu'elle est haute comme trois pommes, elle a une peur bleue du vide. Elle n'a jamais avoué à personne qu'elle avait le vertige, elle a même tendance à pousser le vice en faisant croire qu'elle peut grimper à n'importe quelle hauteur ⊹ 02. Elle ne suppose pas qu'on lui donne des ordres. Elle entretient depuis toujours un certain problème avec tout ce qui est lié à l'autorité, et a développé un certain goût pour l'arrogance et le cynisme sous toutes ses formes. Reine de la répartie, elle trouvera toujours quelque chose à dire, avec calme et minutie. Méfiez vous de l'eau qui dort ⊹03. ses yeux émeraudes dorés ont toujours émerveillé sa famille. En effet, chez les Kreisler, tous les membres ont les yeux bleus turquoises, un bleu très clair. Tous, sauf elle ⊹ 04. contrairement à ce qu'on pourrait penser, elle mange tout et n'importe quoi. J'imagine qu'aucun individu sur cette terre n'a vu quelqu'un mangeait autant ⊹ 05. Elle est passionnée par les armes anciennes depuis qu'elle est adolescente. Ce qui est plutôt effrayant, en soi. ⊹ 06. A quinze ans, elle s'est teinte les cheveux en turquoise, sa première véritable crise de rébellion et de désir d'individualité ⊹ 07. Elle n'est pas pudique, loin de là. Elle n'est pas vulgaire, sa prestance et son intelligence l'en empêchent, mais elle est dénuée de tout complexe. Elle pourrait très bien sortir de sa salle de bain entièrement nue alors que deux mâles se trouvent juste à côté. Elle n'a jamais compris pourquoi on lui faisait la remarque ⊹ 08. elle est extrêmement intelligente. Son QI est largement supérieur à la moyenne, mais en plus de cela, elle est maline au possible. Mais elle ne le réalise pas réellement. Elle ne se pense ni intelligente ni idiote ⊹ 09. elle est une grande admiratrice des chansons rock des années 60 à 80. Durant son adolescence, elle a déjà posé pour un concept de publicité mannequinat pin'up. Elle s'y est drôlement amusée.

{you're my most beautiful scar}
Vous pouvez répondre aux questions de la manière qu'il vous plaira, cependant essayer de développer un peu pour qu'on en apprenne un peu plus sur votre personnage.
I. Qu'elles sont les passions qui animent votre personnage ? le violon, sans la moindre hésitation. Lou est une artiste, sa famille entière a la musique dans le sang. Lou est très différente des membres de celle-ci, sur le plan physique, caractériel, et émotionnel, mais son amour pour la musique montre que c'est bel et bien une kreisler. Son père est chef d'orchestre, sa mère pianiste, son frère directeur du conservatoire, et ses oncles et tantes sont tous musiciens.
II. S'il y avait un moment clé dans la vie de votre personnage, quel serait-il ? Le 16 mars 2015. Le jour où elle a reçu ses résultats. Elle avait passé des examens à l’hôpital. Rien de compliqué, rien de concret. Jusqu'à ce que ces résultats soient mauvais. Très mauvais. Depuis ce jour, elle s'est découvert une maladie qui attaque ses os, une maladie grave, une maladie rare, qui a d'abord choisi de s'en prendre à son poignet. Dramatique, dans la mesure où ça commence à avoir un réel impact sur sa manière de jouer.
III. Où se voit votre personnage dans 10 ans ? si elle est encore vivante, ça va de soi. Ce qui, au vu des conséquences de sa maladie, reste assez compromis. Mais si elle est toujours là, il est impossible pour elle d'envisager un avenir sans violon entre les mains. Indépendante, et violoniste. Et pas malade. Certainement pas.

{that tears have drawn your dreams}
« Lou, veux-tu m'épouser ? » Pardon ? La teinture noisette des yeux de la demoiselle, debout face à un homme accroupie à ses yeux, s'assombrit, au point de laisser le gris s'imposer dans l'étendue de sa pupille. L'épouser. Il venait de lui demander, là, comme ça. Devant toute la famille. Durant un repas du dimanche. Surprise, ma chérie. Totalement chamboulée par ce qu'elle venait d'entendre, l'autrichienne était tout bonnement incapable de bouger. De parler. De répondre quoi que ce soit. Elle avait déjà du mal à assimiler la question qui lui venait de nul part, alors formuler une réponse aussi grave lui semblait surréaliste. Tout simplement. Et pourtant, une réponse, elle devait bien en donner une, au risque de voir la crédibilité et la fierté de l'homme qui l'aimait s'effondrer tel un château de cartes, et ce aux yeux de tous. L'ensemble de la fratrie des Kreisler, emmagasiné dans le petit salon de leur demeure à San Francisco, laissait leur attention s'accaparer ce moment qui se devait être légendaire, plein d'espérance, annonciateur d'un heureux événement et de pleins de bonnes choses à venir. Mais c'était sans compter sur la réaction de la fille qui venait d'avoit vingt ans, qui ne comptait en aucun cas se laisser passer la corde au cou, et qui laissait peser, sans réellement en prendre conscience, un silence monumentale. Des plus longs et gênants. Surtout pour le pauvre idiot qui restait accroupie, un bras ballant. Retrouvant, au bout d'une quinzaine de secondes qui parurent des heures au malheureux qui avait eu la malchance de tomber amoureux d'une fille aussi terrorisée par l'engagement, le don de la parole, la belle brune crut bon de compenser son manque de réponse par une réplique qui allait lui permettre de gagner quelques secondes : « C'est que ... On en avait jamais parlé ... » après tout, qu'il s'agisse d'elle ou d'une autre, ce genre de décision ne se prenait pas à la légère. N'était-il pas coutume de parler un minimum de l'avenir avant de se lancer, un beau matin, et de proposer à la personne que vous aimez de signer un contrat de mariage, d'adopter un labrador, et d'installer une barrière blanche autour du jardin ? Mon dieu, une barrière blanche ... Tout sauf ça. D'accord, le principe était que la demande soit une surprise, elle pouvait le concevoir, à la limite. Mais pourquoi n'avait-il jamais glissé un sous-entendu, entre deux frites ? Pourquoi ne pas avoir énoncé l'idée "'tiens, je nous vois bien mariés, un jour", avant de lui passer le sel, un mardi soir ? Pourquoi ne pas lui avoir dit que c'était sérieux à ce point-là, durant une partie de jambes en l'air ? Pourquoi décidait-il de tout balancer ce matin-là, devant toute sa famille de musico-creepy glauque, les couvrant de honte autant à lui qu'à elle ? Pourquoi se décidait-il à en parler maintenant ? Réalisant que la situation prenait des allures catastrophiques, et qu'elle se devait de répondre autre chose, l'ingénue ne put s'empêcher de poser la question à voix haute : elle chuchota alors à l'homme, accroupie à ses pieds, qui était en train de se décomposer à vue d'oeil : « Pourquoi tu le fais maintenant ... ? » La voix désolée de la pauvre demoiselle détonnait face au regard impuissant d'un homme qui venait de se ridiculiser. Foutu pour foutu. [...] « Je crois qu'on devrait se séparer. » venait-elle d'annoncer d'une traite, de but en blanc. Fille des Kreisler, la reine du détour et et du tact. Elle pouvait être soigneuse dans ses paroles, vraiment, elle était capable de l'être. Mais pas maintenant, pas dans ces conditions. Elle était terrorisée. Son petit ami venait de la demander en mariage devant toute sa famille. Ils s'étaient alors isolés dans la chambre des parents, afin de s'entretenir et sauver les dégâts, sans voir gambader les pipelettes Kreisler autour d'eux. Il avait suffit de deux minutes, deux petites minutes équivalent la traversée du couloir principal jusqu'à la chambre, pour que la belle aux cheveux chatains décide de lâcher une telle bombe. Il venait de lui demander de rester auprès de lui pour la vie, et elle, tout ce qu'elle était capable de répondre, c'était qu'elle voulait rompre. Il n'y avait qu'elle pour faire ça. Visiblement, Tomas ne pouvait que confirmer, puisqu'il se décomposa davantage en attendant une réponse qui n'était pas réellement celle qu'il aurait voulu entendre : «... Quoi ? » Elle ne savait pas quoi dire de plus. Après tout, il n'y avait rien à dire. Pour être honnête, elle n'avait aucune intention de rompre, à la base. Elle appréciait Tomas. Ses manies, le temps passé auprès de lui, son caractère, son attitude, leur histoire. Mais de là à l'aimer, il ne fallait pas non plus partir dans les extrêmes. Peut-être que l'amour existait, mais jamais Lou n'avait été touché, fort heureusement. Loin d'elle cette priorité. Cela dit, elle était capable d'encaisser le mot "couple". Elle l'était, oui, parfois. Mais il avait dit les mots impardonnables. Les mots qui lui avaient fait peur. Face à ces derniers, elle tenta d'effectuer un virage à 180°. Guidée par la panique, toute alternative lui semblait bonne pour se dégager du méchant piège dans lequel elle s'était fourrée. «C'est parce que je t'ai demandé en mariage, c'est ça ? Ça t'a foutu la trouille ?» Bingo, le blond. Erreur, erreur.

---

pseudo, prénom : spf. âge, région et/ou pays : vingt-deux ans, france, toulouse. où avez-vous découvert BITS ? bazzart, c'est la vie. personnage inventé ou scénario ? personnage inventé. votre avatar : shailene woodley. commentaire, petit mot :   .

Code:

<f3>Shailene Woodley</f3> - lou kreisler

Bienvenue par ici, avec la belle Shaileen
Bon courage pour ta fiche

Bienvenue parmi nous belle demoiselle

Bienvenue sur BITS!
Shailene est une excellent choix d'avatar
Bonne rédaction

Oh Shailene, je l'aiiiime Quel excellent choix, il me tarde de voir ce que tu vas en faire
Bienvenue sur BITS