›› when we were on fire.

prénom, nom : ebba, son prénom, son identité, la seule chose qui lui ai vraiment toujours appartenu. la seule chose dont elle a toujours été certaine. dans sa vie, tout n'a été que chaos et calvaire, mais malgré tout ça, elle est toujours restée ebba. son patronyme, van hall, empruntée à cette famille adoptive qui l'a pourtant tellement malmenée. elle ne sait pas pourquoi elle le garde, elle pourrait le rejeter, mais elle s'y est drôlement attachée au fil des années. âge, lieu et date de naissance : c'était il y a vingt-six ans, au royal london hospital, que la petite ebba a vu le jour. c'était un jour de printemps gris et froid, comme on les voit si souvent dans la grande ville de londres, en grande-bretagne. sur son acte de naissance est donc inscrit la date du 13 mai, et la même date est inscrite sur l'acte de décès de sa mère, qui perdit la vie sur le lit d'hôpital. origine et nationalité : bien qu'elle n'ait jamais connu ses parents, ebba sait qu'elle est d'origine anglaise, et que sa famille l'était depuis des générations. son accent ne trompe pas, elle est une londonienne de naissance et possède sa nationalité anglaise avec grande fierté. à Londres depuis : son premier souffle. née à londres, elle n'a jamais quitté la grande-bretagne, horrifée à l'idée de prendre l'avion, et bien trop attachée à son pays natal pour le quitter. l'angleterre, en particulier, est son chez soi, et elle aime tout d'elle - sa campagne, la folie de sa grande ville, les plages tout au sud. occupation : elle a poursuivi sa passion de l'écriture et des médias pour se lancer dans le journalisme. via sa grande détermination, son ambition et son talent pour dégoter les radotages les plus salés, elle s'est trouvée un emploi qui lui convient comme un gant dans un magazine à potins londonien - elle est donc aujourd'hui rédactrice pour le ok! magazine. elle adore son emploi et y consacre tout son temps. statut civil : célibataire, les histoires d'amour ce n'est pas pour elle. son coeur a été trop usé pour qu'elle ne s'en serve à nouveau - et puis, tous ces enfantillages, ça ne l'intéresse plus. elle porte ses énergies sur son boulot et sur elle-même, car rien d'autre n'importe à ses yeux. bien que, parfois, ça lui arrive de se laisser tenter le temps d'une soirée par un grand et sombre inconnu. orientation sexuelle : elle n'a jamais été de ces filles qui veulent expérimenter et trouver leur véritable place - ebba, elle, l'a toujours su. hétérosexuelle, ce sont les hommes et seulement les hommes qui l'attire. eux seuls savent lui faire tourner de la tête - enfin, surtout lui, bien que ça ne lui plaise plus vraiment de l'admettre. quartier de résidence: la jeune femme s'est établie dans le quartier de covent garden. elle adore l'endroit et son vent de liberté et de créativité. il n'y a rien qu'elle aime plus que de flâner entre les marchands, entendre les amuseurs de rue faire applaudir les foules éphémères et manger un bon macaron chez ladurée. covent garden, c'est son quartier préféré de londres, et elle ne pourrait pas être plus heureuse d'y être installée. statut financier, groupe : elle se débrouille. ni pauvre, ni riche, ebba fait partie de cette classe moyenne qui sait s'offrir quelques luxes sans pouvoir aller prendre le thé au ritz un après-midi par semaine, les passengers. elle est très à l'aise avec sa petite fortune, qu'elle s'est construise par elle-même, qu'elle a gagné de ses mains. comme ça aurait pu être différent, par contre ! mais l'argent des autres, ça ne l'intéresse pas. traits de caractères : débrouillarde, franche, rancunière, manipulatrice, égocentrique, ambitieuse, sournoise, têtue, tenace, passionnée, curieuse, combative, loyale, froide, optimiste, fonceuse, prétentieuse, vive d'esprit, imaginative, créative, forte.

{So much stuff you got to understand}
›› the darkness. depuis qu'elle est haute comme trois pommes qu'ebba est terrifiée du noir. c'est peut-être idiot et enfantin, mais elle est incapable de dormir dans une pièce plongée dans la noirceur - elle a besoin d'une petite lumière, d'une petite source lumineuse, d'un petit repère pour se sentir en sécurité. non pas qu'elle imagine des monstres dans les ombres, ou des menaces dans les coins, c'est seulement une peur enfantine qui n'a jamais été guérie, une peur enfantine que personne n'a jamais rassuré. elle dors donc toujours avec une petite lampe, ou au moins avec la lumière de la lune.

›› movies and muscle cars. ebba a toujours été passionnée par les arts. ça a toujours été la littérature qu'elle a préféré, mais le cinéma était deuxième sur sa liste. les salles sombres, le bruit des projecteurs, elle adore. mais ce qu'elle aime surtout, ce sont les films de voitures - de voitures anciennes, de voitures classiques, de voitures vintage qui vous donne envie d'explorer sur le monde sur quatre roues un peu rouillées. que ce soit bullit, vanishing point, gone in sixty seconds, nommez le, elle le connaîtra, elle l'aimera. son rêve, d'ailleurs, a toujours été de posséder une mustang shelby 1967.

›› people skills. ebba, elle est douée pour faire parler les gens. elle sait exactement quoi dire à quel moment pour savoir ce qu'elle veut. c'est comme si elle avait un radar, ou une sorte de don de voyance, qui fait en sorte qu'elle guide les conversations comme elle le désire. elle est astucieuse, elle est vive d'esprit, elle sait quelles questions poser et elle sait comment répondre à ceux qu'elle se fait demander. c'est presque impossible de lui cacher quelque chose, elle sait quand on lui ment et elle va chercher à savoir pourquoi. c'est pour ça qu'elle est aussi douée dans son travail, parce que quand elle cherche quelque chose, elle le trouve à coup sûr.

›› ohana means family. ebba n'a jamais connu sa vraie famille. elle ne connaît même pas son véritable nom. quand on l'a accueilli à l'orphelinat, on savait juste qu'elle était ebba, juste ebba, rien d'autre. elle a pris le nom de ceux qui l'ont adopté, parce qu'il n'y avait pas d'autre option, et c'est resté comme ça. elle se demande souvent qui étaient ses parents, pourquoi ils n'ont pas pu la garder, pourquoi ils l'ont abandonné. parfois, elle se dit qu'elle devrait partir à leur recherche, trouver des réponses. mais parfois, elle se dit également que s'ils n'ont pas laissé de traces, c'est sans doute pour une raison, et que rester dans le silence est sans doute la chose à faire.

›› i don't have a heart you can break. depuis ce jour-là, depuis cette dispute là, depuis lui, ebba ne s'est pas autorisée à faire confiance à quiconque. son coeur a été dérobé il y a des années, sans qu'elle ne puisse y faire quoi que ce soit, et jamais il ne lui sera rendu, elle le sait, et elle l'a accepté. cela ne l'empêche pas de s'amuser, mais les hommes qu'elle rencontre et qu'elle laisse tomber lui dise qu'elle n'a pas de coeur. et tout ce qu'elle trouve à dire, c'est qu'ils ont raison. ils ont tout à fait raison.

{you're my most beautiful scar}
I. Qu'elles sont les passions qui animent votre personnage ? pour ebba, ça a toujours été les livres. les pages de papier, minces et fragiles, qui sentent la poussière et qui se remplissent de larmes. les bouquins, ces petits mondes de papier et d'encre, ces petits mondes dans lesquels elle se perds, dans lesquels elle devient quelqu'un d'autre. enfant, elle lisait et elle lisait, elle avalait et elle gobait le plus de livres qu'elle pouvait. c'est encore le cas aujourd'hui. il n'a pas fallu beaucoup de temps pour qu'elle se mette à écrire, elle aussi. elle qui a toujours aimé les mots, les tourner et les tordre, elle expérimente avec eux dans ses heures libres, et les mets dans le bon ordre pour faire frémir pour son travail. elle passe parfois des heures à chercher le mot parfait, le mot qui fera qu'on s'attardera au titre de l'article, le mot qui fera qu'on s'en souviendra - qu'on se souviendra d'elle, oui, mais qu'on se souviendra de ses mots.
II. S'il y avait un moment clé dans la vie de votre personnage, quel serait-il ? certainement, ce fut cette journée fatidique, où tout ce en quoi croyait ebba s'est écroulé comme un château de cartes fragile. elle était tellement certaine qu'il l'aimait elle aussi, mais ce n'était pas le cas. c'est là qu'elle a compris, qu'elle a enfin compris qu'elle ne pouvait se fier sur personne, absolument personne, sinon sur elle-même. car elle seule compte vraiment, elle seule ne s'est jamais déçue. c'est cette dispute, cette conversation horrible dont les mots résonnent toujours dans son esprit, qui l'a fait partir, qui a marqué la fin d'une histoire et le début de la sienne, d'une nouvelle histoire, plus belle et plus cruelle, d'une histoire qu'elle vit sans s'arrêter et sans ralentir.
III. Où se voit votre personnage dans 10 ans ? avec un peu de chance, elle sera toujours au magazine. elle aime son boulot, elle veut le garder, elle fera tout pour cela. elle aimerait bien parvenir à se hisser comme éditrice, c'est son petit rêve gardé, qu'elle chérit sans trop lorgner pour ne pas l'abattre dans l'oeuf. oui, éditrice du magazine ça serait bien. elle se voit libre - pas mariée, non, ce n'est pas pour elle. libre, plutôt, et heureuse. le sourire au visage, errant dans covent garden, peut-être avec un enfant qu'elle aura adopté. oui, ça pourrait être bien, ça. ce qui est certain, c'est qu'elle en prendrait soin, terriblement soin. un grand appartement. un chat. quelques plantes. un tableau d'art hors de prix sur le mur du salon. un sac à main prada, enfin, peut-être. et surtout, lui, loin, très loin, devenu un simple souvenir.

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pseudo, prénom : marianne, wolf hearted. âge, région et/ou pays : 21 ans, ô canada. où avez-vous découvert BITS ? sur bazzart. personnage inventé ou scénario ? scénario de la mort qui tue (même des horcruxes). votre avatar : marie avgeropoulos. commentaire, petit mot : je viens de me taper un marathon hp et j'ai mal aux yeux à force d'avoir pleuré   .

Code:

<f3>marie avgeropoulos</f3> - ebba van hall

{that tears have drawn your dreams}
“Tu vas t’appeller Ebba Hepburn, maintenant, alors ?” Ebba releva les yeux vers Wolfgang, qui la fixait de yeux interrogateurs. La jeune fille secoue la tête, ses cheveux sombres lui tombant devant les yeux. Elle enfonce sa chaussure dans le sable humide. “Non. Je vais rester une Van Hall.” Sa voix perce le silence de l’après-midi. Le soleil brille au-dessus d’eux, illuminant les jeux du parc, mais celui-ci est vide. Les gens ont peur qu’il pleuve à nouveau, ce qui sera probablement le cas. Mais Ebba et Wolfgang s’en fichent. Fuir la pluie, c’est pour les idiots. Eux cherchent la pluie, ils la pourchasse. Ils ne savent pas trop pourquoi. Du moins, c’est ce qu’ils répondent quand les adultes leur demande. Mais Ebba sait exactement pourquoi. Elle aime la sensation de la pluie froide sur sa peau. La sensation d’être si petite et si grande dans l’univers à la fois. Elle aime tourner sur elle-même, et rire à gorge déployée, et regarder Wolfgang faire de même, un grand sourire étendu sur son visage. Pendant quelques minutes, ils sont seuls au monde, et ce monde leur appartient. Pour Ebba, c’est un sentiment unique. Elle qui n’a jamais rien eu sur terre, pas de famille, pas de maison, même pas de nom, pendant quelques minutes, elle a Wolfgang, et elle a l’univers pour elle seule. Malgré elle, elle sourit, assise sur la balançoire. Elle aime se rappeler cette sensation. Son meilleur souvenir. “Pourquoi ?” La question de Wolfgang lui perce l’estomac, la ramène sur terre. Il a raison. Oui, pourquoi ? Pourquoi garde-t’elle ce nom maudit ? Wolfgang a raison. Elle ignore complètement pourquoi elle le fait. Après tout, les Van Hall ne lui ont fait que du mal. Ils ne lui ont apporté que de la peur, que de la souffrance. Mais malgré tout, Ebba y est attachée. Ce nom, il est à elle. Ce nom, elle s’est battu pour. Toutes ces blessures n’ont pas pu lui être infligées pour rien. Elle n’a pas pu souffrir pour rien. Elle regarde Wolfgang, qui se fait doucement balancer. Elle fixe ses cheveux bruns, la déchirure de sa chemise au poignet. On entend juste que le grincement des chaînes et le bruit des voitures qui passent au loin. “J’en sais rien.” À peine a-t’elle terminé sa phrase que le tonnerre rugit, faisant lever leurs deux visages vers le ciel noir. Ils échangent un sourire tandis qu’une pluie glaciale se déferle sur eux. Ebba en crie presque de joie, puis Wolfgang lui prend la main, et ils dansèrent dans la pluie.


C’est pas de l’amour. C’est pas de l’amour. C’est pas de l’amour.
Va te faire foutre, oui.
Ebba est en colère. Très en colère. Un coup d’oeil vers son visage et ça se voit. Ça se voit dans ses yeux plissés, dans ses lèvres pincées, dans ses poings serrés, dans sa posture tendue. Elle a envie de le frapper, encore et encore. Elle l’a fait, une fois, ce n’était pas assez. Vraiment pas assez. À chaque fois qu’elle dessine son visage dans son esprit, elle a envie de casser quelque chose, de hurler quelque chose, de faire n’importe quoi sauf voir ce foutu visage. Les autres filles. Les mots pincent encore, comme une piqûre de guèpe. Comme un coup de couteau dans le dos. Après toutes ces années, après tout ce qu’ils avaient partagés, c’était tout ce qu’elle était à ses yeux. Une autre fille. Jolie, tout simplement. Ebba sent la colère lui monter a la gorge. Ça lui avait fait tellement mal. C’était comme un autre coup au visage, comme elle en avait déjà reçu tellement quand elle était petite. Plus jamais elle n’avait cru avoir à ressentir cette douleur. Mais il était parvenu à faire pire, bien bien pire. Ça avait été tellement naturel de l’aimer. Un amour simple, sincère, vrai. Elle aimait le voir sourire, elle aimait le voir chanter à tue-tête, elle aimait quand il passait une main dans ses cheveux. Elle aimait l’entendre prononcer son nom. Ebs. Ebs. Maintenant, tout cela ne lui donne envie que de vomir. Il a tout détruit. Il a tout gâché. Quelqu’un cogne à la porte de sa chambre. Ebba lève les yeux de son magazine. Elle sait parfaitement de qui il s’agit. Elle reconnaîtrait ses cognements entre milles. Connard. Ça fait trois semaines qu’elle ne lui a pas adressé la parole. Ils vivent sous le même toit, mais elle l’ignore comme la peste. Juste le voir est douloureux. Les mots résonnent dans sa tête, encore et encore. T’es comme une soeur. Ebba secoue la tête, repose les yeux sur son magazine. Une gosse de riche qui a encore fait une connerie. Elle se demande si Wolfgang fera jamais la couverture d’un de ces magazines. La pensée lui arrache un rire mesquin. Si ça arrive un jour, elle espère que ce sera elle qui choisira la manchette.


“Bon sang, Ebba! C’est… c’est du génie, ça. Comment t’as pu dénicher un truc pareil ?” La jeune femme ne peut s’empêcher de sourire en voyant l’expression sur le visage de son éditeur. C’est exactement le genre d’expression qu’elle veut déclencher à travers toute la ville de Londres. Ce mélange entre la surprise, la fébrilité et le dégoût. Le mix parfait. Elle hausse des épaules doucement, un petit sourire au coin des lèvres. “J’ai mes sources. Tu sais que je peux pas tout te dévoiler, Pierce” dit-elle tout simplement, passant une main sur sa jupe pour la défroisser. L'homme passe une main vague sur sa cravate, retombe sur son fauteuil, les yeux rivés sur la rédactrice. “Merde. On va mettre ça en première page demain, j’te jure. T’as une photo, aussi ?” Ebba hausse la tête, lui tends le dossier. Il sort le bout de papier de l’enveloppe, un sourire s’étirant d’une oreille à une autre. Il secoue la tête, regarde Ebba avec un mélange d’admiration et de peur. “Tu sais que ça va le faire souffrir, non ?” Ebba garde les yeux rivés sur l’homme en face d’elle. “Je sais.” C’est ce que je veux. Elle garde la dernière remarque pour elle. Son éditeur sait qu’elle connaît Wolfgang Hepburn, qu’elle le connaît bien même, mais il ne sait pas jusqu’à quel point. Et il ne sait pas, surtout, qu’Ebba s’est donné comme mission de le détruire, de la racine de ses cheveux coiffés chez les plus grands stylistes de Londres jusqu’à la pointe de ses chaussures hors de prix. C’est peut-être stupide et enfantin, de lui vouer une telle vendetta. De passer tellement de son temps à trouver les pires rumeurs possibles et les faire devenir réalité. De dénicher les anecdotes les plus innoffensives et les transformer en secrets sombres de son passé. Mais Ebba aime bien ce qu’elle fait. Ça lui fait du bien. Et elle le fait bien.

tu es magnifique,
bienvenue parmi nous !

En plus tu viens de te faire un marathon HP, jotem encore plus Donc bienvenue et bonne chance pour ta fiche Si t'as des questions sur la madame, je suis là (mais ça tu le sais déjà )

Ou qu'on s'engueule en faisant des bébés en même temps #multifonction Ah oui, je voulais dire que si tu voulais changer de prénom, ou de nom, tu peux hein, même l'avatar

Bienvenue parmi nous!
Marie est si jolie

Demandé si gentiment, comment pourrais-je refuser?

Nick Martins a écrit:

bienvenue et bonne chance pour ta fiche ma belle
t'es belle tu fais un super choix de scénario

je te vois, vile créature pas touche

Bienvenue ma belle, tu fais vraiment un heureux la
Trèèèèèès bon choix de scénario, je vais carrément vous stalker
Bon courage pour la rédaction de ta fiche

le choix parfait
bienvenue à toi

T'en fais pas, prends le temps qu'il te faut