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| Sujet: (F/TENTÉ) MARIE AVGEROPOULOS Dim 26 Juil - 23:01 | |
| ebba van hall{Running from the ghosts and shadows The world just disavows }© tumblr/muse
prénom, nom : ebba van hall, mais le prénom ainsi que le patronyme sont totalement négociables (même si mentionnés ainsi dans ma fiche). âge, lieu et date de naissance : vingt-six ans, née à londres durant le mois de mai. origine et nationalité : origines inconnues, elle a été adoptée et n'a jamais rencontré ses parents biologiques. elle est cependant de nationalité anglaise. à Londres depuis : toujours, c'est son territoire, celui qu'elle connaît depuis sa plus tendre enfance et dans l'idéal, elle n'aurait jamais quitté la grande-bretagne pour voyager car elle aurait peur de prendre l'avion. occupation : rédactrice pour un journal de potins (à vous de trouver le nom, mais je peux bien évidemment aider pour la recherche !). statut civil : célibataire, le peu de temps qu'il lui reste est consacré à sa propre personne et à son bien-être. orientation sexuelle : hétérosexuelle, elle ne s'est jamais abandonnée aux plaisirs avec les femmes et n'en a pas l'intention. quartier de résidence: elle vit à covent garden, quartier des arts et créateurs qu'elle observe avec admiration. statut financier, groupe : passengers, elle aurait pu vivre dans une fortune inégalable si elle était restée dans sa seconde famille adoptive. traits de caractères : ambitieuse, ardente, astucieuse, aventureuse, combative, courageuse, débrouillarde, distrayante, entreprenante, imaginative, intrépide, maline, optimiste, passionnée, tenace, vigilante, accusatrice, bornée, désinvolte, désorganisée, envahissante, humiliante, insouciante, maniaque, prétentieuse, puérile, revancharde, sournoise. avatar(s) proposé(s) : marie avgeropoulos, gage golightly, willa holland, kristina bazan, sophie turner, caitlin stasey, chloe bennet, au choix à vrai dire. {So much stuff you got to understand}C'est à Londres qu'elle fut hébergée pendant trois ans dans un orphelinat du centre de la capitale. Adoptée dès cet âge par un couple qui semblait respectable, mais surtout fortuné, elle grandit dans un foyer où douleur, délaissement et maltraitance sont les maîtres mots. Elle ne connaissait rien d'autre que les peines et les tourments qui s'immisçaient dans son essence désormais troublée par deux parents irresponsables. Cependant, elle ne bronchait pas. Jamais elle ne s'était plaint des coups reçues, jamais elle ne lâchait quelques larmes sur ses pommettes pour témoigner de ce traitement barbare. Pourquoi un tel comportement à l'égard de cet enfant qui n'avait rien demandé si ce n'était l'amour que chaque enfant se devait de recevoir ? A une époque, les Van Hall avaient tout pour être enviés : richesse, renommée, admiration qui pouvait se lire dans les prunelles d'autrui. Alors qu'Ebba n'avait que sept ans, la famille Van Hall perdit une grande partie de sa fortune dans des investissements peu scrupuleux et sombrèrent dans un gouffre de dettes dont ils ne pouvaient se libérer. Aussitôt, ils dévièrent, prirent un chemin impardonnable en consommant drogues, alcools et autres choses étranges afin de panser ces regrets qui leur ont tout fait perdre. C'est à l'âge de huit ans que les violences commencèrent sur le corps chétif, enfantin. Des coups dans le dos, dans les jambes, dans le ventre. Elle, elle restait là, à subir une haine qu'elle ne pouvait pas comprendre. A l'école, on ne pouvait pas voir qu'elle était blessée aussi bien moralement que physiquement. On ne pouvait pas voir qu'elle avait mal et même son ami le plus proche, Wolfgang, n'en savait rien. Ce n'est que trois ans plus tard, alors qu'elle venait de fêter ses dix ans, que l'école primaire a contacté les services sociaux qui se sont empressés de retirer la garde de l'enfant aux parents adoptifs. On a voulu la placer dans des familles d'accueil. Une première, une deuxième, mais il y avait ce malaise qui faisait qu'elle n'arrivait pas à intégrer les milieux dans lesquels elle était. Ce n'est que lorsque le patriarche Hepburn fit son entrée qu'elle se sentit complètement à l'aise dans la maison de ce dernier. Parce qu'elle les connaissait déjà, parce qu'elle avait encore des repères lorsqu'elle était chez eux. Ainsi, c'est à l'âge de onze ans qu'elle fut officiellement sous la charge des Hepburn, gardant cependant le patronyme qu'elle reçut à sa première adoption. Ebba n'était pas mauvaise dans les cursus scolaire, bien au contraire. Tête de classe, elle était celle qui avait cette soif incontrôlable de connaissances et qui ne cessait de bouquiner dès lors que l'occasion de présentait, et ce, même si Wolfgang essayait tant bien que mal de la décoincer au fil des années. Frictions avec ce dernier quand elle n'avait que quinze ans et lui seize ans, c'est une dispute qui s'est conclue en coupant les ponts l'un avec l'autre. Inspirée par la littérature, l'écriture et le domaine artistique, elle se dirigea vers des études supérieures de journalisme par ses propres moyens, ne voulant pas user de l'hospitalité des Hepburn. Elle quitta le domicile familiale à l'âge de dix-huit ans, quand la majorité fut atteinte, ne donnant des nouvelles que par périodes. Aujourd'hui, elle est rédactrice dans un magazine de potins, magazine qui concurrence le propre magazine de rumeurs de la famille Hepburn. {that tears have drawn your dreams}HATRED IS SO SUAVE.La haine est si douce. Ebba et Wolfgang se connaissent depuis tout jeune. Alors que seulement un an d'écart les sépare, ils ont partagé les cours de récréation quand ils n'avaient que respectivement six et sept ans. Se considérant l'un comme l'autre comme des meilleurs amis, ils ne se quittaient que lorsqu'il fallait retourner en classe mais se rejoignaient à la sortie de l'école quand la sonnerie retentissait. Une amitié enfantine, ils jouaient à des jeux totalement puérils, se disputaient comme les gamins le font mais se réconciliaient à chaque fois. Réconciliation que Wolfgang entreprenait, sachant très bien qu'Ebba ne ferait jamais le premier pas pour venir s'excuser, même si elle était en tort. Quand elle vint habiter chez les Hepburn, cela ne changea pas leur relation. Ebba ne le considérait pas comme un frère, et Wolfgang ne la considérait pas comme une sœur mais s'en occupait comme telle. Elle était sa meilleure amie, la seule fille avec qui il parlait sans être gêné et ce, même durant l'adolescence. Néanmoins, il y avait cette forme de jalousie qui faisait surface chez les deux jeunes. Alors que Wolfgang n'appréciait pas voir les garçons tourner autour d'elle, sûrement à cause de ce côté sur-protecteur, Ebba avait cette amertume au fond de la gorge dès lors que Wolfgang fricotait avec d'autres filles. Parce qu'autrefois il lui promettait qu'eux deux, se seraient pour la vie, Ebba ne comprenait pas les choses de cette façon là. Il lui appartenait, elle lui appartenait, pour elle, il n'y avait pas d'autres issues. Mais lui, il grandissait. Il voulait voir ailleurs (du moins, ses hormones lui disaient d'en faire ainsi). Il ne voulait pas être enchaîné. Ils avaient vécu longtemps ensemble. Lui, ressentait de l'amitié. Elle, de l'amour. Des hormones qui jouent différemment. Elle était plutôt dans le genre romantique. Lui, c'était totalement différent. En comprenant cela, c'est une certaine haine qu'elle créa à son égard. Parce qu'elle avait encore en tête cette promesse datant de l'enfance, parce qu'elle y avait cru durant une grande partie de son existence, elle voyait ça comme une trahison. Comme s'il avait joué avec elle, avec ses sentiments, quand à l'adolescence il la prenait encore dans ses bras, ces baisers sur le front, ces caresses dans les cheveux qu'elle voyait comme une marque d'amour et non simple amitié. Elle a décidé de couper le fil qui les liait, un malaise s'installant de plus en plus, un fossé qui se creusait entre les deux qui finirent par grandir séparément mais sous un même toit. Quand Ebba quitta le logement des Hepburn, elle coupa définitivement les ponts avec Wolfgang mais garda en tête le fait que tôt ou tard, elle lui ferait payer la poignée d'années gâchées par ce qu'elle considère comme des mensonges de la part du jeune homme. Et c'est effectivement ce qu'elle fait aujourd'hui en écrivant des articles peu glorieux sur lui. Ce dernier a depuis peu, décidé d'en faire de même. Elle souhaite briser sa réputation ? Il faut qu'elle s'attende à des représailles.
vos préférences : Premièrement, je te remercie d'avoir cliqué sur le scénario, ça me fait plaisir. Si t'as réussi à lire ce gros pavé, je te remercie d'autant plus Alors, concernant la jolie donzelle, sache que le prénom ainsi que le nom de famille sont totalement négociables et que c'est simplement cette idée qui m'est venue en tête quand j'écrivais ma fiche (bon, j'avais que ce serait bien de garder au moins le prénom vu que je la mentionne à un moment, mais c'est vraiment comme tu veux ). L'avatar est aussi négociable, j'ai mis quelques idées dans la partie concernant la bouille du personnage, mais si t'as d'autres idées, tu peux évidemment me les proposer (je me réserve un droit de veto, mais faut savoir que je suis pas vraiment difficile ) Pour ce qui est de la présence, je pense qu'on sait tous que les membres fantômes c'est pas forcément cool, donc voilà, un minimum d'activité sera demandé ! Mais je te demande pas non plus de rp 24h/24, on a tous une vie irl et je veux pas que tu restes au fond de ta grotte à cause de moi Concernant la longueur des rps, je demande simplement la règle instaurée par le forum, je peux aussi bien écrire de longs pavés comme le minimum exigé, je m'adapte à la personne d'en face donc c'est pas un problème non plus (tant qu'on n'a pas des fautes à chaque mot ) Aussi, si tu veux plus de détails sur les Hepburn, je t'invite à aller lire ma fiche de présentation, ou sinon tu peux juste me mpotter, j'aime bien le harcèlement par message privé *lance des cookies et muffins pour attirer le peuple*
Dernière édition par Wolfgang Hepburn le Mer 29 Juil - 14:34, édité 2 fois |
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