▪ let me tell you this story, of that guy.

anton meisl
{doubt you know you were supposed to love me.}
© fuckyeahdamose, tumblr/goodbye, feder ft. lyse

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prénom, nom : Anton Meisl [ prononciation : an-tone maille-szel ], un patronyme commun en Bavière, basique et sans une anecdote à son sujet. âge, lieu et date de naissance : Il a trente-et-un ans depuis la mi-mai, le dix-sept plus exactement. Originaire de Munich (Allemagne), il y a connu ses huit premiers hivers, avant de faire ses valises jusqu'en Grande-Bretagne. origine et nationalité : Une mère britannique, un père allemand. à Londres depuis : Près de vingt-trois ans. occupation : Chasseur de têtes, il reçoit son salaire en débauchant un profil recherché et défini par son client. statut civil : Il se sépare de sa première épouse pour les besoins d'un jeu infantile et sous les directives de son amie. Puis, marié une seconde fois, il est actuellement en instance de divorce et refuse cette fois-ci de signer les papiers. orientation sexuelle : Il ne s'intéresse qu'aux femmes. quartier de résidence: Il habite à Covent Garden, avec la seconde madame Meisl. statut financier, groupe : Suite à son premier divorce, il a vu son compte en banque se réduire de moitié (££££, Passengers). traits de caractères : Surprenant, esthète, observateur, persuasif, baratineur, bruyant, provocateur, joueur, excessif, intense, têtu, captivant, discursif.

pseudo, prénom : Velcrow. âge, région et/ou pays : France/région parisienne, 27 ans. où avez-vous découvert BITS ? Via Bazzart. personnage inventé ou scénario ? Inventé. votre avatar : Theo James. commentaire, petit mot : Comment résister ?

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<f3>Theo James</f3> - Anton Meisl

« J'espère que c'est une plaisanterie. » Il connaît la réponse, la devine, l'espère négative malgré l'importance et les soucis qu'elle engendre. Il s'en moque et déverse sur son mariage une pluie infantile, naît de deux êtres, amoureux peut-être, en proie à un jeu aux règles infondées. « Ne te plains pas, je te laisse au moins le choix. » Elle maquille, furtivement et habile, son monde en terrain de jeu. Ils en sont les pions et les rois, toutefois ils en deviennent les fous. « C'est trop aimable. » Ils s'interdisent le bonheur, sans l'un, sans l'autre. Ils construisent, bâtissent des rêves trop grands, veulent d'un avenir en commun, mais ne s'y prêtent qu'en utopie, fondent des perspectives, relativisent parfois et se perdent, se heurtent à quelques défis souvent lancés à l'aveuglette des conséquences. Obéir à ses yeux pour lui plaire, Anton se contrefiche bien d'un soi-disant effet papillon. Il se ment à lui — à elle, se plie à la volonté d'un jeu d'enfant. Il craint, probablement, de la perdre, de la transformer en un regrettable souvenir. « Si je comprends bien, je dois soit mettre un terme à mon mariage ou bien, mettre à mal ma fierté masculine ? » C'est un hiver bien pénible, qu'il affronte à l'aide d'une cigarette, mourant doucement entre ses doigts. Il l'apporte à ses lèvres, trop imparfaites en cette saison. Le dos recouvert par un manteau, issu d'une décennie passée. « C'est ça. » Elle cherche dans son regard une réponse favorable, souriante et divine, son ultimatum provoque chez lui, un rire expiré. Elle est forte, bien trop forte pour lui, attachée à une victoire qu'il ne veut lui offrir. Elle joue merveilleusement bien, c'est son plus beau rôle et elle y tient. Il l'aime pour ses manies incessantes, plaisantes. Il semble pensif, comme captivé par cette alliance autour de son annulaire. Or, l'objet ne fait pas le poids face à son esprit de compétition. Il est prêt à tout sacrifier, parce qu'elle lui demande, parce qu'il refuse de perdre, de la perdre, de déclarer forfait, de grandir, d'obtenir une maturité trop longtemps ignorée, de se taire face à ses challenges. Parce qu'il l'aime elle, et pas une autre. « J'opte pour la première option, certes plus coûteuse. » Il tombe — une fois encore, dans ses désirs les plus dévastateurs. Il acquiesce, relève le défi. Les dés sont jetés, il le sait, plus rien ne le retient dans son mariage, pas même l'image d'une épouse aimante. « J'avoue que tu t'es surpassée cette fois-ci, admirable. » Il caresse l'espoir, d'un jour proche ou lointain, d'appartenir à ses mains, de se complaire à d'autres jeux bien moins enfantins. En attendant, il fait de la patience, la maîtresse de son cœur.

theeeeeeeeeo, réserve moi un lien!
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche.