Nev Sulek ARRIVE LE : 03/07/2016 MOTS PASSIONNES : 17 DOUBLE COMPTE : aucun
the tomorrow morning ADRESSE: FACES BOOK: DISPONIBILITES:
| Sujet: cavalier seul il demeura. Dim 3 Juil - 23:44 | |
| zbyhnev sulek Je suis las, Las de vivre de je ne sais pas Quand rien ne se dit ici bas Loin des dires de l'au-delà © tumblr/bb brunes ○ âge, lieu et date de naissance : 24 ans, il est né un 12 décembre, à mi-chemin entre la hongrie et l'autriche. ○ origine et nationalité : d'origine slovaque et serbe, pas de nationalité puisque pas de papiers. ○ à Londres depuis : trois ans, mais il y a vécu deux ans -non consécutifs- quand il était gosse également, avant de retourner errer ailleurs en europe. ○ occupation : il est embauché en tant que fossoyeur depuis un peu plus d'an un dans l'un des cimetières de la ville. cependant, il arrondit largement ses fins de mois grâce à son activité illégale, il vole des voitures, les désosse pour certaines et revend le tout à son réseau. il lui arrive de jouer les mécanos contre quelques billets ou objets de valeur. une activité qui déplait à sa famille qui tente de s'intégrer depuis son arrivée. ○ statut civil : célibataire, l'inconscient vise trop haut, des filles pas faites pour lui, des filles dont les parents ne voudraient certainement pas l'avoir pour gendre. ○ orientation sexuelle : hétérosexuel, y pas d'doutes. ○ quartier de résidence : sur un terrain vague, à la sortie de la ville, entre deux bâtiments abandonnés et dégueulasses. toute la troupe de manouches est venue s'installer là avec les caravanes et les voitures, il y a 3 ans de ça. le camp ne fait que s'agrandir de mois en mois et les inconnus n'y sont pas les bienvenus. ○ groupe : the hardest part.
traits de caractères : le voyou, le loubard, l'enfant des rues, l'enfant du monde, celui qui traine, qui entraine, le zonard. l'aventurier, l'insatisfait, besoin de sensations fortes, déroger à la règle, sortir des sentiers battus, choquer, déranger. le rire au bord des lèvres, la fête au creux du cœur, la jeunesse, l'ivresse, l'impétuosité, y a rien qui peux l'arrêter. amoureux des femmes, charmeur de pacotilles, pas de promesses, rien que des caresses, de la passion, de l'effusion. la violence, la baston, le palpitant réanimé par les coups encaissés, désabusé, blasé. le désespoir, la gueule de bois, la colère, enfant frustré qui vit dans un monde rêvé, bloqué dans une réalité délavée. les secrets, le mystère, le jeu, repousser les limites, toucher le ciel, s'embraser, s'embrasser. la famille, la solidarité, l'anarchie, la folie, tout casser, tout péter, ses os et son cœur aussi. la nuit, les étoiles, les jolies filles, ces princesses inaccessibles, la morosité, animal en cage qui montre les crocs, envie de liberté, de fuguer, se barrer. aller sur mars, jamais revenir, rien regretter, tout oublier. 1. about myself o1. l'année dernière, à halloween, il s'est amusé à s'enterrer peu profondément dans un trou pas encore occupé, juste pour s'amuser à jouer le mort-vivant qui ressort du sol pour faire flipper tous les cons de jeunes venus vivre le grand frisson dans un cimetière le soir du 31 octobre. il s'est beaucoup amusé ce soir-là, à tel point, qu'il a finit par appeler quelques potes pour qu'ils puissent faire ça à plusieurs. o2. il n'a pas le permis et conduit souvent ivre, et même le mec qu'il a renversé une nuit avant de l'abandonner sur place ne lui a pas suffit à le ramener à la raison, peut-être qu'il aurait fallut que l'homme décède pour que ça lui fasse un électrochoc. en attendant, il continue et il n'hésite pas à prendre des passagers, complètement inconscient. o3. il a fréquenté une fille pendant un bon moment, charlotte qu'elle s'appelait, elle était schizophrène à ce qu'il parait, lui il se contentait de la trouver marrante et originale. ils étaient pas vraiment ensemble, mais charlotte a toujours pensé que si, il la laissait croire, ça ne faisait de mal à personne, sauf peut-être à la famille King, qui n'a jamais accepté nev. sauf que charlotte, elle s'est suicidée y pas si longtemps que ça et nev, il comprend pas. il reste là, perdu avec ses questions et sa peine. il a du mal à encaisser le choc, il n'avait jamais perdu quelqu'un avant elle et il ne sait pas du tout comment gérer ça. complètement dépassé. paumé. la douleur et le chagrin vont et viennent, le faisant alterner entre euphorie, rage et isolement. o4. il a volé sa première voiture à l'âge de 13 ans, avec sa grande-sœur, c'est elle qui lui a tout enseigné, faut dire qu'elle était une voleuse hors-paire. mais elle a finit par se ranger et se marier, aujourd'hui, elle n'est plus que l'ombre d'elle-même, il ne la reconnait plus et ça lui fait mal, ça le met en rogne. quoi qu'il en soit, lui, il n'a jamais arrêté de piquer des voitures, au contraire, il en a fait tout un business. il tient un petit carnet et en 11 ans, il a volé pas moins de 67 voitures. depuis quelques temps, il essaye de parfaire sa technique pour couper les alarmes, afin de s'attaquer à des voitures plus chères. o5. sa famille ainsi que toute la troupe, tout le monde est hyper croyant autour de lui, des catholiques convaincus, avec la foi, la bible, le petit jésus sur sa croix, les messes, la prière, tout. et nev au milieu de ça, il sait plus trop. des fois, il y croit lui aussi. il se confesse un peu devant le petit jésus, il demande pardon, il fait le signe de croix et remercie dieu pour avoir une assiette remplie de nourriture. et d'autres fois, il n'y croit pas du tout. il blasphème, transgresse toutes les règles religieuses et se dit qu'il est bien con de croire en ça. la mort de charlotte le perturbe encore plus. lorsqu'il l'a apprit, il a pris la croix dans le salon et l'a mise dans les chiottes en tirant la chasse d'eau trois fois de suite et en crachant dessus, les larmes aux yeux. mais depuis, il peut pas s'empêcher de se dire qu'il espère qu'elle va bien là où elle est, qu'elle est au paradis, qu'un bout d'elle est resté auprès d'lui, ça le rassure, ça l'apaise. et d'une certaine façon, c'est réel, ce bout d'elle auprès de lui : y a léa. o6. il en a vu du pays, nev, il a voyagé un peu d'partout dans le monde, beaucoup en europe, grâce à l'ouverture des frontières, mais la troupe a réussi à se faufiler ailleurs malgré tout, les manouches, ils vont partout où bon leur semble, y a rien qui les arrête. il parle couramment l'anglais et le hongrois, mais aussi le "romani" (la langue des manouches, gitans, tziganes, issus d'inde qui ont migré vers l'europe), il se débrouille aussi en kalo (pareil que le romani, mais du côté hispanique cette fois). o7. il n'a jamais été à l'école, tout ce qu'il sait, il l'a apprit dans la troupe, il lit assez mal et ne sait quasiment pas écrire, juste quelques trucs de base qu'il connait par cœur, sans trop comprendre vraiment ; il cache pas mal cette partie de sa vie, il l'assume pas vraiment, il veut pas qu'on le prenne pour un inculte, pour un crétin. o8. c'est un bagarreur, un insoumis, un révolté, il cogne, il se déchaine, pour rien et contre le monde entier ; c'est le spécialiste pour déclencher les bagarres dans les bars, dans les stades, dans tous les regroupements en fait. il vient avec son poing américain et il cogne, il castagne et des fois, c'est lui qui perd, c'est lui qui se fait éclater la tronche sur le bitume, mais ça l'arrête pas. putain, y a rien qui l'arrête ce gosse et ça désespère ses parents qui ne veulent pas de ça, de cette violence, de ce désir brûlant qu'il a à ne surtout pas vouloir s'intégrer au monde qui l'entoure, toujours à côté, décalé. 2. paradise I. Qu'elles sont les passions qui animent votre personnage ? il a les mêmes passions qu'un ado de 15 ans : les filles, les potes. c'est rien qu'un gosse, il a oublié d'grandir. en dehors de ça, y a rien qui l'anime, il est comme tout vide à l'intérieur, pas de passions, pas de rêves, heureusement qu'il sait rire suffisamment fort pour cacher le trou noir dans sa poitrine, sinon, il serait vraiment trop déprimant. II. S'il y avait un moment clé dans la vie de votre personnage, quel serait-il ? le jour ou toute la troupe a décidée de s'installer pour plusieurs années aux abords de londres, eux qui avaient toujours voyagé, incapables de s'arrêter dans un endroit plus d'une année. c'est un gros changement, tout le monde ne s'y fait pas et ça crée pas mal de tensions. nev, il est un peu perdu au milieu de tout ça. parfois, il voudrait repartir. parfois, il voudrait rester, pour toujours. ce qui est certain, c'est que ça a changé son quotidien. ainsi que celui de tous les gens qu'il connait et c'est pas rien. III. Où se voit votre personnage dans 10 ans ? il ne voit rien du tout. il ne voit même pas demain. la seule chose qui est évidente pour lui, c'est qu'il sera toujours un membre de la "Famille". peut-être qu'il aura une femme et des gosses, peut-être qu'il sera en prison, peut-être qu'il sera alcoolo, peut-être qu'il sera mort. il sait pas, il veut pas savoir, ça le fait flipper, un peu. 3. true story (optionnel) la nuit, tous les chats sont gris. il rigole quand elle lui prend la main, là, comme ça, dans la rue. comme si c'était normal, comme s'ils étaient ensemble, en couple, pour de vrai. il dit rien, juste, il rigole. il retire pas sa main, il veut pas lui faire de peine et puis, de toute façon, c'est pas grave, c'est agréable et ça n'engage à rien. et il l'entraine dans une ruelle, ils passent une porte, grimpent des escaliers. il fracasse une porte close, rien qu'pour elle, ses beaux yeux, son sourire de gamine et son air d'allumée. et ils débouchent sur les toits, s'élancent dans un périple dangereux, s'aventurant de toits en toits, comme des yamakasis. et y a le soleil qui s'couche à l'ouest, et la lune qui s'lève à l'est et c'est beau. et il fait froid, mais ils s'en foutent, main dans la main, ils s'tiennent chaud.
- tu risques rien, j'te tiens.
qu'il dit, comme si c'était vrai. mais c'est des conneries. tant pis, elle y croit charlotte et elle s'accroche encore plus à lui. ils finissent leur course folle un peu plus loin, sur un des plus hauts toits du coin. la vue leur coupe le souffle. et nev, il fait semblant de la pousser avant de la rattraper de justesse, mort de rire, pendant qu'elle hurle, qu'elle se débat, elle l'insulte de tous les noms.
et puis ils font l'amour, là, le cul tourné vers les oiseaux qui vont s'coucher, sur le béton glacé. c'est pas confortable. mais ça les fait rire, c'est tout c'qui compte. rire. nev, il veut toujours rire, trop fort. pour cacher la misère qui ternis son âme de cabot. il veut pas que charlotte voit à quel point il est fade et terne, derrière ses rires et ses coups de folie. folie. comme celle de charlotte. il l'adore, cette folie. cette part d'elle-même qui disjoncte. ça la rend encore plus belle. plus authentique. à ses yeux, elle est pas schizophrène. elle est juste incroyable. hématomes crochus.- pauvre conne.
qu'il dit à sa sœur, aveuglé par sa colère. y a la main du mec de sa frangine qui s'abat sur sa gueule et nev qui s'écroule sur le sol. l'enfoiré. il se relève, bondit sur l'ennemi et rend le coup. il peut pas le voir, ce mec. il s'prend pour l'roi du monde, avec sa caravane dernier cri et ses fringues plus chers que tout ce que possède nev. il le supporte pas. et il ne supporte plus sa sœur depuis qu'elle le fréquente, ce demeuré. il lui a ramolli le cerveau, elle est devenue insipide, soumise, ennuyeuse.
il la déteste comme ça. c'est plus qu'une inconnue et il pige pas pourquoi elle se laisse faire. alors il cogne, nev, et il s'fait cogner, parce que le con, c'est pas un p'tit joueur. et nev il déguste. et nev il se fait exploser la tronche. il a visé trop haut. et sa sœur qui réagit toujours pas. putain.
- T'ES VRAIMENT UNE PUTAIN DE GROSSE CONNE. qu'il hurle, même s'il est à terre, à s'noyer dans l'sang qui coule de sa bouche, de son nez, de partout.
et VLAN, il déguste encore. c'est distribution à volonté aujourd'hui, buffet gratuit de mandales. il oubliera pas, nev. et il s'vengera, un jour, tôt ou tard. la haine va le ronger, le maintenir éveillé la nuit. et puis un jour, il le crèvera, ce salaud qui s'installe dans leur troupe, dans leur vie, comme si c'était normal, comme si c'était à lui.
nev va le saigner à blanc. il va le pendre par les pieds et lui ouvrir la gorge comme pour vider un cochon. et il l'abandonnera dans une décharge, parce que c'est c'qu'il est : un déchet. et il y a ton sourire.- antoine ? il demande.
il comprend pas nev, ce qu'il fout là, ce gosse. le p'tit frère de charlotte. ils s'aiment pas. enfin, antoine l'aime pas. nev, lui, il s'en fout. est-ce que c'est le père king qui l'a envoyé ici pour lui dire de plus approcher sa fille ? sombre merde. si c'est ça, nev il est déjà prêt à se pointer là-bas, à sonner à leur belle demeure et réclamer à voir charlotte, sous leur nez, avec le sourire. pour bien les faire chier.
mais c'est pas ça. antoine, il est mal. ça s'voit putain. ça s'voit de tellement loin que nev, il est mal lui aussi. c'est horriblement contagieux. il pue la tristesse, la douleur. et nev, il se contracte. il appréhende. son intuition lui dit que c'est d'la merde qui va lui tomber dessus. mais en fait, c'est pire que ça.
charlotte est morte. suicidée.
et nev, il pige pas. il bloque.
- ok, merci d'avoir prévenu. qu'il dit, le con. comme si on venait d'lui dire que charlotte avait une angine.
et il s'barre, il s'retire dans sa caravane, il ferme la porte, il s'couche et il s'endort. comme ça, ouais. en plein milieu de la journée. même lui il a pas compris. mais il avait cette sensation de ne pas avoir dormi depuis 1o ans. c'était horrible. et quand il s'est réveillé, ça a mal tourné. il s'est mit à chialer, comme une merde. comme si ses parents venaient de l'abandonner sur l'autoroute. il pouvait plus s'arrêter. et puis, il a finit par s'lever. il a chopé jésus sur sa croix, celle accrochée au mur au-dessus d'la table et il a couru jusqu'aux chiottes. il a jeté le tout dans la cuvette, parce que dieu, son fils et tous ses anges, ce sont des putains d'enfoirés d'avoir rappelé charlotte à eux. et il a tiré la chasse d'eau, pleins d'fois, il a craché d'ssus, il a hurlé, il a donné des coups d'pieds, il a défoncé l'abattant en tirant dessus, puis il la jeté dans la caravane, il a cogné les murs, avec ses poings, avec sa tête. il a déraillé sévère. et puis, quand il a plus eu d'forces, même plus pour pleurer ou tenir debout, à peine pour respirer, il s'est laissé tomber par terre.
et pis, il s'est dit qu'avec tout le fric de ses parents, elle aurait un bel enterrement et que ça, c'était une bonne nouvelle. et pis il a chialé, parce que c'était horrible de penser à ça.
et il s'est sentit seul. comme avant, avant d'la rencontrer. elle était partie. il l'avait perdu. il était pas amoureux d'elle, il l'a jamais été. mais elle avait pris tellement d'place dans sa vie. il avait perdu son p'tit bout d'bonheur. et maintenant, il allait devenir quoi ? le vrai tombeau des morts, c'est le coeur des vivants.- c'est moi qui ai creusé son trou. j'me suis appliqué. il lâche ça, comme ça.
il tourne la tête vers léa, tout en noir, bien habillée, alors que lui, il s'traine toujours avec ses fringues à 99cents. pouilleux jusque dans les pires moments.
- t'es bonne en noir.
qu'il ajoute, sans vraiment réaliser. il y peut rien, ce silence, ça le ronge. l'état de léa, ça l'enfonce. alors il cause et il dit toutes les conneries qui lui passe par la tête. il s'dit qu'elle va bien finir par réagir. mais même pas.
- y parait qu'le sexe quand on est triste, c'est juste ouf.
c'est vrai en plus, il l'a vraiment lu quelque part, mais il sait plus où. ou peut-être qu'il la jamais lu. il s'demande s'il l'a pas entendu dans une série à la con. dans malcolm, peut-être. et puis au pire, il s'en fout.
- y a une cabane au bout du cimetière où j'range mon matériel, on peut y aller après s'tu veux.
elle relève enfin la tête vers lui et là, il a envie de s'écrouler. il sait plus. il sait plus à qui il parle. à qui il pense. léa ? ou charlotte ? ça le trouble alors il tourne la tête ailleurs. il peut plus la voir, la regarder. et il réalise enfin toute l'ampleur de la chose. une jumelle, c'est charlotte qui refuse de disparaitre en quelque sorte. alors il veut s'enfuir. mais il reste. il s'accroche à un truc, il sait pas trop quoi. il tente d'attraper la main de léa, mais elle se dérobe et elle lui fausse compagnie, le laissant seul.
mais nev, il va refuser cette solitude. il va refuser que charlotte s'en soit allée comme ça. et il va s'mettre à coller léa. ou à coller charlotte, il sait plus vraiment. c'est confus dans sa tête. y a des fois où il gaffe, il s'trompe de prénom et ça jette un froid, mais il continue, comme si de rien était. et léa, elle est pas comme charlotte. elle est compliquée, elle est précieuse, capricieuse et maintenant, elle joue les blasées désabusées. il sait plus sur quel pied danser. tout ce qu'il sait, c'est qu'il veut passer du temps avec elle. l'approcher, l'apprivoiser. mais c'est pas facile, parce que des fois, il la déteste. parfois, il supporte pas de la regarder.
j'te déteste. léa. j'm'en vais ce soir et j'reviendrais jamais te voir. j'suis revenu. j'suis désolé. donne-moi la main, putain. charlotte. donne-moi quelque chose, un p'tit bout d'toi, léa. t'es tellement insupportable et ta peine qui fait écho à la mienne. accroche-toi à moi, viens, j't'emmène, loin de toute cette folie. finalement, j'te laisse là. parce que tu te souviens ? j'te déteste. léa.
et la vie elle reprendra jamais son cours. c'pas possible. et nev il a même plus envie de faire semblant de rire, puisque charlotte est plus là. à moins que ? pseudo, prénom : spf. âge, région et/ou pays : 24, france. où avez-vous découvert BITS ? bazzart. personnage inventé ou scénario ? inventé. votre avatar : micky ayoub. commentaire, petit mot : trop de beauté ce forum
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<span class="r8">micky ayoub</span> ○ Nev Sulek
Dernière édition par Nev Sulek le Jeu 7 Juil - 0:32, édité 13 fois |
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