-- I can't find you in the body sleeping next to me my ghost.

Susie Bartels
{three words, eight letters say it and i'm yours.}
© antidottes /gg

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prénom, nom :Suzanne comme son arrière grand-mère maternelle, mais on la surnomme depuis toujours Susie. Maria qui n’est qu’utilisé avec le premier par ses parents et par les amis de ceux-ci. Bartels, un héritage, une fierté, le nom qui se promène sur les lèvres et qui fait écho jusqu’au sommet de Big Ben.âge, lieu et date de naissance : Jeune, belle et riche sur ses Louboutin, elle entame sa vingt-quatrième années. Née un certain quatre juin à Nottingham. origine et nationalité : Britannique aux origines allemandes venant de papa. à Londres depuis : Une dizaine d’années environ, quelques voyages par ici par là en Europe avec sa famille, mais elle revient toujours. occupation :Elle a commencer des études en littérature, mais elle les à malheureusement abandonné à cause d'une cure de désintoxication qui n'a pas été ébruitée dans la presse heureusement pour elle. Elle actuellement héritière de la fortune des Bartels. Papa est duc allemand et maman est une ex-chanteuse d’opéra devenue joaillière sous son propre nom c’est-à-dire Strugatsky suite à la perte définitive de sa voix. Susie passe donc ses journées à faire les boutiques et à rire avec son club d’amis sélect et ses nuits à boire, fumer et danser sinon niveau professionnel, elle reprend gout au touché de sa plume, elle est en pleine rédaction d'un roman policier bien que ce n'est vraiment pas son genre... statut civil : Promise au fils d’un réalisateur célèbre, mais amoureuse d’un autre. orientation sexuelle :Hétérosexuelle, bien qu’elle est déjà fait quelques expériences dans son passé. quartier de résidence: Elle vit dans la charmante maison familiale à Chelsea avec son fiancé. statut financier, groupe : Très aisé grâce à ses géniteurs, seeds of gold. traits de caractères : stellaire, mystérieuse, manipulatrice, volage, fêtarde, audacieuse, coquette, maniérée, possessive, maniaque, à peur de l’abandon, lunatique, têtue, contradictoire, mélancolique, plutôt silencieuse (mais pique ou ça fait mal), poétique, vintage, séductrice, enfantine, capricieuse, un brin hautaine, joueuse, intelligente, parfois froide, dévergondée, (...) 

pseudo, prénom : Milkovich, Mathilde. âge, région et/ou pays : Seventeen yo, Gondor.  où avez-vous découvert BITS ? via Bazzart. personnage inventé ou scénario ?Inventé. votre avatar :Hannah Murray. commentaire, petit mot : Je vous aime les filles.         .

Code:

<f3>Hannah Murray </f3> - Susie Bartels

vanity & lost heart.

DAY
Une légère brise venue se frotter contre son petit nez. La main pesante de son promis recouvrait son fragile petit corps, elle l'enleva délicatement tel la douceur d'une plume et se leva doucement en se dirigeant vers sa coiffeuse. Elle avait encore les yeux endormi, ils entouraient par les traces de mascara de la veille. Ses lèvres étaient craquelées, elle les toucha pour sentir la sensation sur ses doigts. Ses cheveux partaient dans tous les sens, on pouvait distinctement remarquer un gondolage au niveau de ses pointes, les bigoudis de sa mère étaient beaucoup plus efficace qu'elle ne le pensait. Elle passa un coup de peigne dans sa chevelure et se précipita sur le balcon de ses appartements. La rue était paisible pour une fois, aucun bruit n'y régnait, un silence de plomb. Elle se pencha un peu plus pour voir si elle ne le voyait pas passer. C'était l'heure, l'heure à laquelle, elle le voyait, celui qui faisait secrètement battre son cœur. Elle ne lui avait jamais parler pourtant, mais les regards qu'il lui jetait en disait long. Ce matin, il ne passa pas. Son dégoût se lisait sur son visage. Un poing venue se coller derrière elle. - Tu es à moi, rien qu'à moi. - S'exclama son fiancé entre deux baisers déposés dans son cou. Un rire moqueur s'échappa de la gorge de l'héritière, comme-ci elle avait broyer ses paroles, comme-ci ce n'était que de la poussière. - Je n'appartiens à personne, est-ce que c'est clair? - Rétorqua-t-elle la tête haute. Elle n'allait pas le laisser l'envahir, le laisser toucher la moindre petite parcelle de son essence même, elle ne voulait en aucun cas lui appartenir et encore moins qu'il ait droit à son héritage rien qu'avec un petit morceau de papier qui peut être facilement brûlé.


OR NIGHT
Un, deux, trois verres. Ses hanches bougeaient sur le rythme de la musique. Les regards dévorants se jetèrent sur elle en une fraction de seconde. Plus rien n'était contrôlable. Sa tête tournait et d'un coup, elle n'entendait plus rien. Un bourdonnement sourd, des lumières jaillissaient dans tous les côtés. Elle ne tenait plus vraiment l’équilibre, mais elle arriva tout de même à sortir de cet enfer. La porte de secours donnait place à une ruelle assombrie par la nuit, la lumière du croissant de lune l'éclairait. Elle aperçu brièvement un homme, assit contre un mur, cigarette à la bouche. Elle écarquilla un peu plus les yeux. C'était lui, l'inconnu, l'inconnu qui lui donnait ce sentiment étrange au niveau de la poitrine, de l'amour, un amour voilé. Ses yeux se posèrent sur la demoiselle, son petit sourire au coin se propagea sur son visage.  - Tiens prend ma cigarette. Je vais m'en allumer une autre. - S'exclama-t-il en lui tendant la clope. Elle l'attrapa soigneusement et la déposa au creux de ses lèvres. Elle se laissa tomber contre le mur auprès de lui. - Merci. - Susurra-t-elle. Des regards s'échangèrent durant quelques instants, sans qu'aucun ne décide à s'exprimer une nouvelle fois. Ils fonctionnaient comme ça depuis le début, des regards. C'était la première fois qu'ils entendaient leur voix respective. Un choc ou une bénédiction? - Je me demandais combien de temps tu allais mettre pour qu'on aille enfin un face à face au lieu de ces regards furtifs. - Disait-il en allumant sa nouvelle cigarette. - Tu as ta réponse. - Répondit-elle en tirant une latte. - Je sais qui tu es vraiment, je sais ce que tu es, tu n'es plus un mystère pour moi. - Déballa-t-il à son oreille.  - Tu crois savoir, mais tu ne sais rien. Ma tête est un vrai labyrinthe pour qui que se soit et encore plus pour moi. - S'exclama-t-elle d'une voix posée et presque enivrante. Il attrapa ses mots comme une gifle, comme-ci il s'était fait prendre à son propre jeu. Et le lion dévora la biche. Elle s'agrippa à son épaule et se releva. - On se revoit à l'aube, moi à mon balcon et toi en bas de la rue. - Disait-elle avant de se fondre dans la noirceur de la nuit et qu'il ne puisse plus consumer de ses yeux encore ébloui les moindres parcelles de son être.