so i guess you are leaving ?

prénom, nom : Rupert Niklas Whites âge, lieu et date de naissance : vingt-cinq ans, Londres, le 24 avril. origine et nationalité : typiquement anglais. à Londres depuis : toujours. occupation : tout et rien, mais surtout rien. Il enchaîne les petits boulots qui ne payent pas énormément, tantôt livreur de journal, barmaid dans quelques bars de quartiers, caissier dans les épiceries où il lui arrive de voler pour manger, vendeur dans des magasins d’électroménagers qui ne le gardent pas, hooligans à ses heures perdues mais surtout dealer, c'est ce qui lui rapporte le plus. statut civil : célibataire, il cumule les relations d'un seul soir, il ne veut pas s'attacher, il s'y refuse, mais son coeur semble être prit par celle qui retient toutes ses pensées. orientation sexuelle : il aime les femmes et il semblerait que les femmes l'aiment en retour. quartier de résidence: camden town, c'est d'ailleurs grâce à ce melting pot de la population de ce quartier qu'il a réussi à apprendre plusieurs langues qu'il parle couramment ou dont il a quelques bases. statut financier, groupe : on ne peut pas dire qu'il roule sur l'or, s'en est même le contraire. Les fins de mois sont difficiles et les débuts encore plus. THE LAME SOULS traits de caractères : casse-pied, terre-à-terre, jaloux, lunatique, draguer, intelligent, curieux, casse-cou, franc, vulgaire, débrouillard, désinvolte, fêtard, rancunier, courageux, provocateur, bagarreur, joueur, observateur.

{So much stuff you got to understand}
Rares sont les moments qu’il passe chez lui, en effet, son appartement est miteux, à peine une trentaine de mètres carré dans lesquels on ne trouve que le stricte minimum qui lui permet de vivre. Son loyer n’est pas excessivement cher, mais il galère toujours à réunir les fonds possible pour payer son propriétaire. D’ailleurs les murs sont tellement fins qu’il entend très régulièrement son voisin du dessus s’entraîner à devenir une rockstar ou encore ses voisins d’à côté lorsqu’ils ne hurlent pas leurs ébats amoureux, se hurler dessus. // C’est un gars de la rue, qui aime sa ville natale qu’est Londres, c’est un gars qui aime traîner dans les rues, jusqu’à tard dans la nuit ou tôt dans la matinée, il connait les rues de Londres comme sa poche, les quartiers qu’il doit fréquenter pour écumer ses stocks de drogue ou encore ceux dans lesquels il ne doit pas aller au risque de rencontrer ceux à qui il doit encore de l’argent. // Mais il aime son quartier, c’est dans celui-ci qu’il a grandi, c’est dans celui-là qu’il finira très certainement ses jours, il aime le mélange des cultures qui s’y trouve, c’est d’ailleurs là qu’il a appris à parler le français, l’espagnol, l’italien, le turc et le chinois, non pas qu’il les parle couramment mais il aime y passer du temps et parler dans les langues qu’il a appris. Tout les jours il s’exerce avec ses voisins ou même lors du marché, n’hésitant pas à se mettre dans les stands et jouer au vendeur avec ses « amis ». // Il n’a pas connu son père, bien trop lâche pour reconnaître son rejeton et il ne veut plus entendre parler de sa mère qui l’a abandonné lorsqu’il fut en âge de s’assumer tout seul, elle aurait, aux dernières nouvelles, été largué par son junkie de petit ami et serait peut-être de retour à Londres, peut-être était-ce la femme qu’il a croisé il y a quelques jours au coin d’une rue. Quoi qu’il en soit, il ne veut plus entendre parler d’elle. Sa famille ? C’est la rue ! C’est Londres. // Son casier judiciaire est malheureusement trop bien rempli pour qu’on l’ignore, entre vols, violences, entrée par effraction,  ivresse sur la voie publique, détention et revente de substances illicites, les forces de l’ordre le connaissent très bien, si bien qu’il arrive qu’ils se saluent lorsqu’ils en lui font pas un contrôle de ses papiers d’identité. // Il fume, il boit, il fait la fête, son monde c’est la nuit, les boîtes, branchées grâce à ses connaissances avec les videurs, ou non, les vieux bars miteux, les taxis que l’on espère avoir une fois la fête terminée. Il vit la nuit, il n’est plus ou moins de bonne humeur que la nuit, le jour ? Il traîne, il porte le poids de son monde et de ses galères. Ne sachant pas si lorsqu’il rentrera chez lui son propriétaire aura changé ou non la serrure de son appartement. // Il sait danser, non pas comme ceux que l’on voit dans les boîtes de nuit, non, lui il sait danser, la valse, le tango, la salsa, le rock, toutes ces danses de salon, non loin de chez lui une jeune femme avec qui il avait eu une relation de quelques jours donne des cours, il lui arrive, lorsqu’il n’a rien d’autre à faire, de se rendre à ses cours de d’y participer. Étrange vous dites ? C’est une manière pour lui de se sociabiliser, et attention, le petit est plutôt doué ! // On l’aime ou on le déteste, il n’y a pas d’entre deux. Rupert peut aussi bien être un ami qui vous sera fidèle jusqu’à la mort, qu’il pourrait tout aussi bien faire de votre vie un véritable cauchemar. Les gens veulent l’aider, il ne veut pas de leurs aides, il se débrouille par lui-même, refusant que l’on s’apitoie sur son sort, car finalement, il n’est pas à plaindre, sa vie, il l’aime comme elle est et il n’y changerait rien au monde. // Il a plusieurs tatouages sur le corps, signification de sa vie de galère. Tatouages qu’il s’est fait lui-même ou que son ami le tatoueur illégal lui fait lorsqu’ils passent des soirées ensemble à boire et à fumer, refaisant le monde et méprisant ceux de là-haut, bien que qu’il n’envie finalement pas ceux de là-haut qui ne connaissent pas la vie d’en bas, comme lui la connait. Bande de crétins ! //

parce que les dames passent d'abord

messieurs, vous ne serez pas loin

vous pouvez venir, je me mords pas

Je veux un lien négatif, entre dealers il y a de la concurrence non?

LOU : je dis ouiii
j'aime beaucoup ! Rupert et sa vieille envie de la protéger et elle, insouciante qu'elle est.

JULES : bien évidemment, entre dealeurs, la concurrence, la clientèle, les coups bas et j'en passe héhé

je veux des bébés avec elle, mais elle reste sur son balcon avec son chéri
ouiii, une idée, une envie ?

SAUF QUE, alycia ne connait pas susie comme rupert prétend la connaître donc justement, le fait qu'elle essaye de lui faire prendre conscience qu'elle est peut-être trop bien pour lui, forcerait rupert à se lancer un peu plus dans l'envie de la connaître, même si dans le fond, cet univers... il s'en passerait bien. en plus elle est sans sous, bah rupert aussi il galère dans sa vie, il lui arrive de faire le nachos géant pour les restaurants, histoire de payer son loyer. donc ils auraient pu faire connaissance dans un bar, la première fois où rupert aurait croisé en vrai susie, c'est là qu'elle aurait vu les regards qu'il a pour elle, et l'alcool, jouant certainement pour beaucoup, elle serait venu voir rupert en lui disant "laisses tomber, c'est perdu d'avance !"

c'est ça que j'aime bien héhé

Parfait on pourra se taper dessus
(même si Jack )