~ only fools rush in

prénom, nom : CESARE, toute une histoire de famille, la sienne ayant pour tradition de rendre hommage aux aïeux en offrant leurs doux patronymes aux générations suivantes. ainsi, il tient ce prénom de ce grand-père, un homme pour qui il a beaucoup d'estime. MORETTI, comme les cinq autres têtes brunes dont il est aîné, comme beaucoup d'autres dans son pays d'origine. un nom comme un autre, donc. âge, lieu et date de naissance : TRENTE-TROIS ANS se sont écoulés depuis sa naissance à Savoca, en Sicile. origine et nationalité : son patronyme et cet accent qui en fait craquer plus d'une le prouvent si bien, il est ITALIEN pure souche, sur papier comme de sang. à Londres depuis : depuis TREIZE ANS, même si c'est la naissance de sa fille qui l'a décidée à rester dans la capitale britannique. sans cela, il serait déjà à l'autre bout du monde. occupation : l'adolescent qu'il était autrefois serait surpris de le voir une nouvelle fois au lycée, lui qui détestait tant les cours. pourtant, il est bel et bien PROFESSEUR D'ITALIEN, dans un établissement très huppé de la capitale. Quoiqu'il en dise, il l'adore, son job et ne l'échangerait pour rien au monde. statut civil : CÉLIBATAIRE, endurci peut-être, qui se contente d'histoires d'un soir, l'unique femme de sa vie étant sa fille, Giulia.  orientation sexuelle : on ne peut plus HÉTÉROSEXUEL, il n'a d'yeux que pour les femmes et leurs courbes généreuses. quartier de résidence: il a récemment quitté son Camden Town chéri pour rejoindre Covent Garden et offrir ainsi à sa fille un appartement digne de ce nom. statut financier, groupe : $$$$$, passengers. traits de caractères : souriant, borné, calme, méfiant, bon vivant, séducteur, responsable, excellent orateur, perspicace, lunatique.

{So much stuff you got to understand}
Polyglotte grâce à ses deux années de voyageur solitaire, il parle couramment italien, anglais, français et russe. Il a toujours été doué avec les langues. Au sens propre comme au sens figuré. ~ Il a du mal à faire part de ses sentiments. C'est un piètre romantique pourtant, il en ressent des choses. ~ Professeur est loin d'être une vocation, à la base, il était musicien. Il a cependant du se trouver un job digne de ce nom, pour pouvoir offrir une vie convenable à sa fille. Il ne regrette pas son choix même si le côté posh de l'établissement où il travaille le tape plus d'une fois sur le système. Les gamins de douze ans avec l'Iphone dernier cri, il ne comprendra jamais. ~ Il a comme un blocage, avec les femmes qui s'attachent à lui. Depuis le départ de la mère de Giulia, son premier amour, c'est comme si il ne pouvait plus aimer véritablement. Chose bien triste, certes, auquel sa fille de dix ans tout juste et ses rendez-vous arrangés tente de trouver une solution. ~ Papa poule, il protège sûrement un peu trop sa progéniture, mais que voulez-vous ? Giulia est son unique fille, sa princesse. Les premières années de sa vie n'ont pas été les plus faciles, l'argent manquant alors il se rattrape aujourd'hui, alors que leur quotidien s'est à présent arrangé. La gamine n'est pas pour autant pourrie gâtée. Cesare a après tout grandi modestement, Giulia apprendra donc la valeur des choses, comme lui à son âge. ~ Véritable bordélique, sa chambre ressemble à une Troisième Guerre Mondiale. Un comble, lorsque l'on sait qu'il répète à sa fille de ranger la sienne. ~ Il ne supporte pas que l'on lui dicte ce qu'il a à faire. ~ Issu d'une famille mélomane, il sait tout naturellement jouer de cinq instruments. ~ Difficile à croire et pourtant, il a souffert de surpoids durant sa jeunesse. Une période de sa vie qu'il préfère taire et qui explique cette quasi-obsession qu'il a, autour du sport et de sa nutrition.   Un corps comme le sien, cela s'entretien. C'est tout ce qu'il trouve à dire, lorsque la question à ce sujet lui est posée. ~ Certains de ses collègues le traitent de laxiste. Cesare rétorque qu'il prône l'indépendance. ~ Il lit, énormément et peut très bien finir un livre en quelques heures, si on en lui laisse le temps.

{you're my most beautiful scar}
I. Quelles sont les passions qui animent votre personnage ?
Cesare est un fou d'écriture. Gamin, il remplissait déjà de nombreux carnets avec des essais et autres poèmes, qui aujourd'hui, le font bien rire. Outre ses idées couchées sur papier, il garde dans un coin de son ordinateur, un dossier où est entamé un roman. Dans une autre vie, il aurait été auteur, sûrement. Outre les lettres et étant issu au sein d'une famille mélomane, Cesare n'aurait pu grandir sans se passionner pour la musique. Il joue de cinq instruments, allant des traditionnels guitare et piano, en passant par le saxophone, le violon et l'harmonica.
II. S'il y avait un moment clé dans la vie de votre personnage, quel serait-il ? La naissance de sa fille, sans aucun doute possible. En quelques heures, il devenu quelqu'un d'autre. Un nouvel homme. Le gamin de vingt-trois ans, volage et irresponsable qu'il était, s'est envolé pour laisser place au père gaga de son enfant, à la seconde où son regard s'est posé sur ce nourrisson. Giulia, leur fille. Enfin, la sienne et uniquement la sienne, depuis qu'elle est partie.  
III. Où se voit votre personnage dans 10 ans ? Si le cap de la trentaine ne lui a rien fait de particulier, il n'est pas sûr qu'il en soit de même pour celui de la quarantaine. Dans dix ans, il en aura quarente-trois. Sa fille, vingt. Elle sera une adulte, elle aura quitté la maison. Rien que cela, lui fait froid dans le dos, alors il préfère éviter d'y penser. Il vit au jour le jour, de tout façon, Cesare.

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pseudo, prénom : raggedy man, emma   . âge, région et/ou pays : seize, france. où avez-vous découvert BITS ? bazzart. personnage inventé ou scénario ? pi. votre avatar : michiel huisman     . commentaire, petit mot :     .

Code:

<f3>Michiel Huisman</f3> - Cesare Moretti

{that tears have drawn your dreams}



IL Y A TREIZE ANS ≈ Une soirée de Nouvel An, comme toutes celles qui l'ont précédées. La musique qui résonnait jusqu'alors dans tes oreilles s'arrête subitement et la foule qui t'entoure s'amasse autour du compte à rebours. Tu te faufiles à travers ces personnes que tu ne connais point pour rejoindre tes amis et c'est ensemble que vous énumérez à gorge déployée les quelques secondes qui vous séparent de cette nouvelle année. Cinq. Ta tête tourne, tu crèves de chaud mais tu t'en fiches bien. T'es heureux comme ça, maintenant. Quatre. Jules te tend un verre, elle hurle quelque chose mais tu n'entends rien. Trois. Alvin perd l'équilibre, manque de s'écrouler à terre et tu éclates de rire. Deux. Ce n'est plus très loin. Un. Dans l'élan, son verre s'écrase sur ta chemise. Impact. Ton regard croise le sien. Il y a les cris, les embrassades, les bonnes années qui se multiplient. Et puis, il n'y a qu'elle. Plus rien ne tourne, tout se fixe sur elle. On dirait que cet instant se transforme en une scène tirée d'un mauvais film à l'eau de rose. Le truc cliché, qui jusqu'alors te faisait bien rire. Jusqu'à ce que cela t'arrive. Elle s'excuse, jetant la faute sur tout l'alcool qu'elle avait ingurgité. « Je m'appelle Cesare. » que tu lui murmures, sans te soucier des quelques courtoisies dont il faudrait faire preuve en règle générale. « Et je suis.. Ivre ! » Elle dit ça avec le plus grand des sérieux, sans un éclat de rire, avant d'attraper ta main pour aller danser, au milieu de tous les autres, tous ces gens faisant à présent, pour toi, office de figurants. Malgré la pénombre, tu découvres son sourire. Ses cheveux blonds, parsemés d'un arc-en-ciel de couleurs. Son odeur, délicat arôme sucré, qui doit en charmer plus d'un. Sa peau douce, que tu découvres lorsqu'elle s'accroche à ton cou et ses lèvres, dont tu deviendras bientôt accro. Elle te sourit encore et cette fois-ci, c'est toi qui la prend par la main, pour l'emmener, loin, très loin. La première chose que tu aperçois, lorsque tu ouvres un oeil, puis deux, ce n'est pas le plafond délabré de ta médiocre chambre. Ce ne sont pas non les premiers rayons de soleil, qui t'incendient la rétine. C'est elle. Elle et ses prunelles émeraudes. Elle se relève, doucement. Manque de faire un arrêt cardiaque, en se découvrant nue, à tes côtés. Tu l'observes, paniquée, tentant de retrouver ses quelques affaires et surtout, un tant soit peu d'intimité. « Surtout, continue de mater mes fesses, pervers. » qu'elle te lance, en enfilant sa robe de la veille. Sa chevelure colorée n'est plus que crinière désordonnée. Elle a un million de paillettes sous les yeux, qui cacheraient presque son air fatigué. Ce qu'elle est belle, bordel, te dis-tu. « Cela ne te gênait pas, hier soir. » Elle s'arrête, te fusille du regard, en soupirant. Ce n'est pas son genre, de terminer chez un inconnu, ni de boire comme un trou, répète-t-elle, en enfilant ses sous-vêtements tout juste retrouvés. « Tu ne restes pas pour le petit-déjeuner, Ivre ? » Un rictus taquin habille tes lèvres et ne peut l'empêcher de sourire à son tour. « Premièrement, je m'appelle Scarlett. Deuxièmement, si tu vas nous chercher des viennoiseries, alors peut-être » Scarlett entre ainsi dans ta vie, pour ne plus jamais en sortir. Alors, qu'à la base, ce n'était pas vraiment son genre.

IL Y A DIX ANS ≈ Les fleurs sont fanées. Les mots de félicitations ont perdu tout leur sens. L'appartement est vide et son coeur, brisé. Tu attends, assis sur le canapé déchiré. Tu ignores quoi, tu ignores qui mais il reste là, immobile. Peut-être est-ce un signe, quelque chose qui te prouvera qu'elle reviendra ou bien quelques mots, une explication, qui t'aideront à comprendre pourquoi. Scar est partie, comme elle était arrivée. Sans prévenir. Ironiquement, tout ce que la jeune femme laisse à présent derrière elle, sont des cicatrices. Sur ton. Dans ta vie. Il y aussi cette place vacante, dans celle de Giulia, que personne à part elle ne pourra reprendre. Un cri brise soudain le silence et t'ôte de tes pensées. Des pleurs, ceux d'un enfant. Giulia est réveillée. Il n'y a qu'elle, qui semble pouvoir te faire bouger. Tu quittes le salon, pour retrouver la fillette dans son lit. La petite s'apaise dès qu'elle retrouve les bras de son père. Toi, père. Une surprise, pour beaucoup et pourtant, ce rôle te va comme un gant. Tu l'avais après tout promis, que tu serais le meilleur des paternels, quitte à devoir remuer ciel et terre. C'est ce qui avait fait taire les sanglots de Scar, lorsqu'elle t'avait annoncé sa grossesse. Dès cet instant, elle ne trembla plus, rassurée par ton serment. Ensemble, pour toujours. Qui aurait pu penser que cela allait être elle, qui le briserait ? Certainement pas toi. Son départ t'a pris de court, fait tomber des nues. À présent, tu te relèves, pour la gamine que tu tiens dans tes bras. Cette petite créature, aux grands yeux émeraudes. Les mêmes que sa mère. Si les fixer te fait parfois souffrir, tu tentes de l'oublier car à défaut de posséder de nombreuses caractéristiques en commun avec sa mère, Giulia ne sera jamais comme elle. Oh, non. Tu n'élèveras pas de lâche. Ta princesse sera quelqu'un de bien. Quoiqu'il advienne.

IL Y A TROIS SEMAINES ≈ « Papa, papa ! » La porte claque, une masse inconnue s'abat sur le côté droit du lit. Tu n'as pas besoin d'ouvrir les yeux pour comprendre de qui il s'agit. « Bonjour, princesse. » Un bâillement virant au grognement s'échappe de ta bouche et la petite sourit. « On a un problème, il faut que tu viennes voir ! » Sourcils froncés, tu quittes avec empressement son lit, la main de Giulia tirant la tienne. L'enfant te mène jusqu'au salon et tu ne peux t'empêcher de jurer à une, deux, trois reprises. Le tout dans ta langue natale, bien sûr. Il y a un trou. Une ouverture béante, dans le mur du salon. « Bon-jour. » La voix s'émane de l'autre côté et en te baissant légèrement, tu peux voir apparaître le minois de la dénommée Roos, sa voisine. Tu remarques immédiatement le tableau posé à ses pieds ainsi que le marteau encore entre ses mains. « C'est une blague, j'espère. » Ou un mauvais cauchemar. Il lève les yeux au ciel, parfaitement conscient que non, ceci est bel et bien la réalité. Une partie de ce mur s'est effondré. « Je crois que non. Je voulais juste accrocher ce tableau et puis boum. » Les poings serrés, tu tentes de contenir la colère que tu sens peu à peu monter en toi. La jeune femme en face de toi a ce sourire malicieux accroché aux lèvres. Un rictus qui crierait presque, je l'ai fait exprès, juste pour te faire chier. « J'aimerais te dire que je suis désolée mais je vais plutôt opter pour le, "On est quitte". Prends cela comme une vengeance pour l'autre oeuvre d'art que tu as bousillé. » Tu soupires, bras ballants. Roos n'a pas tort, après tout. Lors de votre première rencontre, la belle emménageait et par un élan de galanterie, tu étais venu à sa rescousse. Vint le moment de monter un objet très précieux aux yeux de la jeune femme, une peinture faite expressément pour elle, par son défunt grand-père. Ta courtoisie laissa place à la maladresse. Le trésor se déroba accidentellement de tes mains, pour se retrouver déchiré au bout de l'escalier. Depuis, entre Roos et toi, tout n'est que piques, insultes et guerre. Elle ne t'a jamais pardonné un tel affront et toi, arrêtas bien vite de chercher à te faire pardonner, voyant le comportement hautain qu'employait la jeune femme à ton égard.  « En attendant, ne pense pas que je suis fière de moi. On est colocataires à 50% et ça, c'est loin de me réjouir. » Après un dernier sourire forcé, elle tourne les talons et disparaît, sans te laisser le temps de répondre. Bordel de merde. Cette fille est définitivement invivable. Toxique, même. Tu pourrais la tuer. Ou alors la plaquer contre un mur et l'embrasser. Il n'y a pas de juste milieu, avec Roos. Et il n'y en aura sûrement jamais.

celle qui t'harcèle déjà
Bienvenue et j'ai bien hâte de découvrir ce que tu nous concocte

La trentaine + huisman + le perso
Bienvenue et garde moi un lien surtout

Bienvenue :) Je veux bien faire partie de la bande de copains :)

Bienvenue par ici mon mignon
Bon courage pour la suite de ta fiche

Michiel, ce choix divin.
Bienvenue, et j'ai peut être une idée de lien je te mpotterai.

Huisman
Je te souhaite la bienvenue et bon courage pour ta fichette !

Le personnage promet tellement, et Michiel
Bienvenue parmi nous!

ce pseudo, michiel, le perso c'est beau ce que tu fais, tu sais ?
bienvenue à toi

J'adoooooore Cesare. Et puis je ship déjà Roos/Cesare
Je valide, bon jeu parmi nous!