calm befor the storm

prénom, nom : Gainsborough, seul vestige d'une relation maternelle ajournée dans l'oeuf. Une identité pour la designer, pour la repérer dans une foule, pour lui rappeler qu'elle n'a toujours été que la moitié d'un tout. Oona simplicité venue d'une ailleurs, d'une simple décision. Douceur qui lui ressemble si bien. Evelyne, fierté, prénom d'une tante qui s'est toujours occupé d'elle, mère de remplacement qu’elle ne peut que chérir. âge, lieu et date de naissance : C'est un dix-sept avril dans la ville de Iverness en Ecosse que naquit Oona. Quel meilleur moyen de cacher une grossesse non désirée qu'en passant quelques mois bien loin de Londres ? Oh, tout fini toujours par se savoir mais c'est bien pour s'éloigner d'une réputation qu'elle ne désirait avoir que Madame Gainsborough décida de donner naissance dans une propriété reculée de la famille. Un moyen comme un autre de fuir cette honte persistante. Il y a de cela 24 ans. origine et nationalité : Oona est anglaise et pourtant, elle ne connait qu'une partie de ses origines. Celles qui lui viennent de sa mère. De cette personne qui n'a rien trouvé de mieux que de s'en aller à peine avait–elle accouchée. Parce qu'il était horrible pour d'elle d'être vu comme la fille qui était tombée enceinte trop tôt. Sa mère s'en est allée bien loin, si loin qu'elle ne désirait plus avoir comme compagnie sa douce enfant. Cet enfant dont elle n'avait que faire, qui lui rappelait bien trop ce qu'elle était: une fille qui s'était faite avoir par un amour qui n'était que passager. Du côté de son père, la jeune Gainsborough ne sait rien, simplement qu'il était un homme marié, un homme du monde, un homme qui ne voyait sa mère que comme une petite histoire. Un homme qui n'a jamais su qu'il avait une fille. Une fille qui aurait tout donné pour le connaitre. Une fille qui a toujours tout cherché sur ce géniteur qui restera sans doute à jamais un mystère. à Londres depuis : Oona connait Londres depuis sa naissance, elle y a vécu par intermittence selon les désirs de sa tante, tantôt dans leur château, tantôt dans leur vie citadine. Si la demoiselle connait extrêmement bien la ville, cela fait maintenant deux ans qu'elle y vit sans intermittence. Deux années de reconstruction pour un cœur brisé jusqu'au plus profond de son être. occupation : Diplômée de la School London of international relations, la jeune Oona a trouvé une place de choix chez les Duncombe où elle s'occupait de multiples tâches en lien avec le château. Même si cet emploi n'a pas duré un long moment, il lui a permis de lui ouvrir de nombreuses portes. Aujourd'hui, elle est employée dans une entreprise spécialisée dans les relations publiques et la communication de diverses célébrités, homme d'affaires ou encore autres entreprises. statut civil : Oona est célibataire, pendant bien longtemps cette situation n'était nullement une erreur. Que du contraire, ne pas ouvrir son cœur, se concentrer sur ses études, son métier, sa vie professionnelle semblait la seule voie qu'elle désirait suivre. Parce que sa mère c'était perdu à cause de l'amour, parce qu'elle n'avait été qu'une erreur et qu'elle refusait d'en commettre une à son tour. Oona ne désirait faire l'amour qu'avec son prince charmant, l'homme qu'elle épouserait, l'homme qui lui donnerait la vie rêvée, celle où l'amour serait roi. Totalement idéaliste dans ce domaine, Oona en était même un peu naïve, persuadée de pouvoir rencontrer l'homme qui lui permettrait de vivre cet amour pur et parfait. Un idéal qui s'est vu briser par l'antéchrist du prince charmant: Miles Duncombe. Si au départ, la demoiselle, travaillant pour ses parents, refusaient tout bonnement de lui adresser la parole, les choses ont malheureusement trop vite dérapé. Entre la haine et l'amour il n'y a qu'un pas, un pas qu'ils ont franchi bien trop vite à son gout. Laissant de côtés ses principes pour un homme qu'elle aimait de ton son cœur, la pauvre Gainsborough en est ressortie avec le cœur totalement brisée. Comment aurait-il pu être autrement ? Comment les choses auraient-elles pu être différentes alors qu'ils ne voyaient pas cette histoire de la même manière. Miles l'a trompé car pour lui, ce n'était pas exclusif tandis qu'elle ne le voyait pas de cette manière. Totalement brisée et détruite par cette histoire, Oona a arrêté de croire au prince charmant et commencé à se laisser aller aux plaisirs du corps. Son cœur, pas encore totalement remis de cette histoire remontant maintenant à deux ans, refuse d'aimer à nouveau. Maintenant seul compte son corps, le reste n'existe plus et c'est une vraie séductrice qu'elle est devenue au fil des mois. Si Miles Duncombe l'a changé de plus d'une manière, nul doute que ce n'était nullement ce qu'elle attendait au départ. orientation sexuelle : Hétérosexuelle. quartier de résidence: Soho statut financier, groupe : £££££. L'argent ne lui jamais manqué, c'est même le seul domaine qui la lie encore à sa mère. Cette dernière travaille à l'ambassade du Royaume-Uni en Finlande. Voulant se racheter de cette absence dans la vie de sa fille, elle continue encore et encore de lui envoyer de l'argent. Une manière pour elle de se faire pardonner ou plutôt de se donner bonne conscience. En plus de cet argent, la demoiselle est l'unique héritière de la fortune de sa tante et de son époux. Leur patrimoine plus que conséquent lui reviendrait à leur décis. Une situation qu'elle ne désire nullement arriver de sitôt, ils ont toujours été pour elle ce qui se rapprochait le plus de la notion de parents. Elle essaye de ne pas trop toucher à ce patrimoine financier, essayant plutôt de se servir dans ce que lui apporte sa profession. L'argent n'est pas la notion qui dirige sa vie mais elle ne niera jamais qu'une bonne liasse de billets fait toujours du bien. Passengers traits de caractères : douce sans pour autant se laisser faire, amicale, simple, parfois encore un peu trop rêveuse, piquante si on la cherche, encore parfois un brin trop coincée (tout ne peux pas changer en deux années), consciencieuse dans son travail, un poil trop maniaque,...

{So much stuff you got to understand}
01. Oona est née d'un péché de chair, de l'union d'une jeune demoiselle d'à peine dix-neuf ans avec un homme marié. Une union dont l'homme n'a jamais été au courant. Bien vite sa mère a tôt fait de la considérer comme une erreur de jeunesse, un poids dont il était plus intéressant de se débarrasser le plus rapidement possible. C'est pour préserver les apparences et accéder à sa petite famille parfaite, que sa mère a décidé de l'envoyer vivre chez sa soeur tandis qu'elle continuait son existence paisible en Norvège. Madame Gainsborough arbore maintenant son nom de femme mariée, entourée d'un mari aimant et de leurs deux filles. Oona quant à elle continue son existence bien loin de sa famille d'origine qu'elle considère comme un vestige du passé, un tableau dont elle ne fera jamais partie. Cela fait plus de sept ans qu'elle n'a pas revu sa mère et elle ne s'en porte pas plus mal. Elle ne considère d'ailleurs pas cette dernière comme sa véritable maman. Non, pour elle c'est sa tante qui a rempli ce rôle à la perfection. Sa famille s'est faite par le coeur avec un oncle et une tante toujours prêt à s'occuper d'elle. Si sa mère n'avait pas refusé, cela ferait bien longtemps que ce couple l'aurait adopté, la considérant comme leur fille. Le seul bien qu'offre Madame Gainsborough à son ainée est une somme d'argent conséquente déposée chaque mois sur un compte. Pour l'instant, la demoiselle n'y a pas touché. Une question de dignité. Elle ne remplacera pas sa présence par quelques billets. Qui plus est quand elle refuse de lui révéler l'identité de son père. 02. Sa tante lui a appris les bonnes manières, l'étiquette, comment bien se tenir à table, la politesse, tout ce qui peut avoir de l'importance lors de grands dîners. Une manière comme une autre de pousser sa nièce vers de beaux partis. De temps en temps, pour continuer dans cette voie, sa tante invite de bons partis afin qu'ils fassent connaissance avec Oona. Une chose qu'elle a en horreur mais qu'elle supporte toutefois pour lui faire plaisir. 03.Sans se délecter des longues journées de shopping, Oona apprécié d'être impeccable lorsqu'elle sort de chez elle. Si auparavant la demoiselle n’osait pas se laisser aller à ce qui pouvait paraitre comme sexy ce n’est plus le cas maintenant. Oona se laisser aller à ses envies, à ce qui fait d’elle une femme et non plus une petite fille qui tente de cacher ce qu’elle est au fond d’elle. 04. Pour l'instant, la demoiselle n'a pas l'ombre d'une envie d'avoir un enfant. Ce n'est pas qu'elle les déteste mais plutôt parce qu'elle ne se voit pas maman. Sans doute que son expérience avec sa propre mère rend le sujet bien plus compliqué pour sa petite personne. 05.Oona a été scolarisée dans un internant réputé dans la campagne anglaise jusqu'à ses seize ans où elle est entrée à la Westminster School. Durant ses études, la demoiselle a développé un certain talent pour la musique et spécialement le piano. Pianiste à ses heures perdues, elle joue rarement devant un auditoire. 06.Oona ne fume pas et boit de temps en temps de l’alcool sans pour autant être une alcoolique, elle est toutefois découvert depuis quelques temps ce qu’était être heureuse en faisant la fête. C’est une accro au thé et elle en consomme plusieurs tasses par jour. 07.Pendant longtemps la demoiselle refusait de faire chaque action qui ferait disparaitre son masque de perfection, ce masque qui, selon elle, la rendait plus désirable. Depuis deux ans, elle tente de lâcher prise, de temps en temps réalisé des action qui font d’elle une personne et non une image pouvant paraitre un peu trop glaciale. 08.Oona est douce et sensible en apparence et également dans le fond, toutefois, là où son apparence laisse passer une image un peu trop passive, ce n’est nullement le cas. Oona ne se laisse pas faire, en elle brille un feu sacré qu’elle n’enferme plus. Un feu qui lui a apporté plus de répondant, plus de vie, plus de répondant, plus de personnalité en somme.

{you're my most beautiful scar}
I. Qu'elles sont les passions qui animent votre personnage ? Oona ne possède pas une passion principale, elle aime la vie ou plutôt essaie d'en profiter davantage ce qu'elle n'a pas fait durant plus de 22 ans. Non, elle agissait comme un automate voulant toujours être la meilleure, la plus intelligente, celle qu'on ne remarquerait que pour de bonnes raisons. La lecture a toujours eu une place importante dans sa vie. La demoiselle a toujours aimé se poser avec un bon livre dans un fauteuil moelleux tout en accompagnant le tout d'un petit verre de vin. Une petite soirée tranquille et en même temps bien agréable.

II. S'il y avait un moment clé dans la vie de votre personnage, quel serait-il ? Le moment où elle est entrée dans cette chambre. Le moment où son regard s'est posé sur les deux corps entremêlés. Ce moment où elle a compris que son petit ami n'était pas fidèle, qu'il ne l'avait sans doute jamais été, qu'elle s'était seulement laissé avoir. Qu'il n'avait jamais désiré faire d'elle autre chose qu'une fille de passage, une fille avec qui il couchait sans prendre la peine d'arrêter avec les autres. Elle n'avait pas été assez importante pour cela alors qu'il avait tout été pour elle. Il avait été le premier à qui elle s'ouvrait de la sorte. L'homme pour lequel elle avait laissé de côtés certains de ses principes. Elle s'était donnée corps et cœur à lui et elle n'avait reçu en retour qu'une immense souffrance. Une souffrance sans nom… Mais ce cœur brisé lui a permis de réduire certains de ses idéaux, d'arrêter de voir la vie comme une perfection à atteindre et de commencer à la vivre, un peu plus ardemment. Oh, si aujourd'hui encore elle hait l'homme pour ce qu'il lui a fait, ce n'est plus seul dans sa chambre qu'elle y pense mais bien au bras d'un autre. Un homme de passage, un homme qui n'attirera jamais pleinement son attention puisqu'il n'est pas sélectionné pour durer, simplement pour passer.

III. Où se voit votre personnage dans 10 ans ? Avant, elle se serait imaginée avec un mari, un homme qui ne la tromperait pas, un prince charmant et surement deux ou trois bambins parcourant leur jolie propriété. Une famille heureuse, une vie heureuse, un tout de bonheur. Une vision trop naïve, trop idéaliste, bien loin de la vérité… Maintenant, elle ne pense plus vraiment à ce qui arrivera dans dix ans. Sans doute espère-t-elle que la vie lui sourira que rien de mal ne lui arrivera mais le reste est sans importance, parce qu'elle est maintenant plus réceptives aux imprévus. Alors oui, sans doute sera-t-elle mariée avec deux trois enfants mais cette vision est bien loin d'être aussi idéalisée qu'elle ne l'était autrefois.

{that tears have drawn your dreams}
Voici maintenant le moment d'écrire l'histoire de votre personnage. Nous n'imposons aucune forme à ce niveau, vous êtes libre d'écrire comme vous le désirez (journal intime, anecdotes, récit simple...). Nous vous demandons un minimum de développement et au moins une vingtaine de lignes.

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pseudo, prénom : burning bridges. âge, région et/ou pays : 23 ans/belgique. où avez-vous découvert BITS ? bazzart et un gentil mp. personnage inventé ou scénario ? inventé. votre avatar : gabriella wilde. commentaire, petit mot : désolé pour le recensement je ne l'avais pas vu.

Code:

<f3>Célébrité</f3> - Pseudo

{that tears have drawn your dreams}
Etre engagée ici était comme un rêve qui devenait réalité, un moyen pour Oona Gainsborough de se faire un nom, de devenir quelqu'un d'important, sur qui il fallait compter. La demoiselle possédait ses rêves de grandeur, elle voulait devenir quelqu'un, non pas en se mariant ou en sortant avec tel personne. Non, elle désirait réussir son existence sans compter sur personne d'autre qu'elle. Bon, sur ce coup, elle était plus que certaine d'avoir reçu un coup de main de la part de sa tante. Elle ne pouvait toutefois pas lui en vouloir, cette dernière ne cherchait que son bonheur, elle le lui prouvait de plus d'une manière et cela n'était pas prêt de changer. Non, elle ne pouvait vraiment pas lui en vouloir de lui avoir trouvé une aussi bonne place. Ce n'était pas tout le monde qui avait la chance de pouvoir travailler pour le duc et la duchesse de Devonshire. Mais il avait malheureusement suffit d'un mauvais sens de l'orientation ainsi que d'une mauvaise porte ouverte pour gâcher tout le reste. Parce qu'un rêve pouvait facilement se transformer en cauchemar. Il suffisait pour cela d'un jeune homme à l'attitude plus qu'étrange. Un être qui sur beaucoup de plans pouvait ressembler au prince charmant, l'homme bien sous toutes les coutures, tout ce qu'il n'était pas pour elle. Parce qu'elle avait pu apercevoir son véritable visage. Parce qu'elle ne voyait chez lui que ses mauvais côtés. Il était tout ce qu'elle détestait, un être dont la seule volonté était de batifoler avec toute nouvelle venue. Non, Oona n'était pas de celles qui ouvraient les jambes facilement. L'erreur de la demoiselle avait sans doute été de ne pas assez s'intéresser à Miles Duncombe pour voir en lui le fils de son nouvel employeur. Maintenant la vérité lui apparaissait aussi clairement que le caleçon à carreaux écossais du jeune homme, seul vêtement le recouvrant. Toutefois, si elle rougissait de le voir dans une telle tenue, ce n'était pas ce qui l'amenait à s'indigner.  « Serait-ce déjà mon anniversaire. Je vous en prie. Que cherchez-vous ? Nous pourrions éventuellement faire le chemin ensemble. »  Cette voix, cette attitude, tout cela lui rappelait leur précédent rencontre. Aucun mot n'arrivait à sortir de sa bouche tant qu'elle avait la sensation d'être prise dans un piège trop grand pour elle. Bernée, elle avait été idiote de croire qu'on pouvait véritablement l'engager pour ses compétences. Si elle dévisageait de la sorte l'homme c'est parce que son être haïssait le fait de n'avoir été choisie que parce qu'elle plaisait au fils de la famille. Quelle idiote elle faisait !  « Miss Gainsborough, quel plaisir de vous revoir. Je me suis permis de transmettre votre candidature à mon père qui a été tout aussi subjugué que moi. Vous savez comment atteindre les hommes, c’est une qualité indéniable. Quel impoli je fais. Une tasse de thé ? Ou peut être préfèreriez-vous que je vous conduise à mon père ? » Un hoquet de surprise sortit de la commissure de ses lèvres quand elle entendit l'homme parler. Venait-elle vraiment d'admettre qu'elle n'était qu'une paire de fesses ou de seins quoique des deux côtés, elle n'était pas la mieux fournie. Juste un joli minois pour satisfaire l'appétit insatiable des Ducombe. Est-ce que Monsieur Duncombe désirait lui aussi la mettre dans son lit ? Elle espérait que non. Si son visage gardait cette mine choquée, tout son être était en train de bouillir de l'intérieur. Miles n'avait aucune idée du dragon qui dormait sagement sous sa jolie chevelure brune. Une partie de son être avait envie d'éclater de rire lorsqu'il lui proposait une tasse de thé, comme si cela suffirait à arranger un tant soit peu les choses ? Toutefois, elle ne pouvait pas se montrer complètement désagréable avec le fils de son nouveau patron même si toute sa personne lui donnait maintenant envie de partir en courant pour ne plus jamais revenir. « Votre père n'est pas là pour le moment, une affaire urgente l'a retenu. Je cherchais simplement mes appartements mais le château est grand et j'ai dû me tromper d'aile. » Son ton n'était pas des plus sympathiques, il laissait malheureusement transparaitre combien elle pouvait en vouloir au jeune homme de ce qu'il avait pu faire. La solution la plus civilisée aurait sans doute été de lui demander le chemin et puis de s'en aller avec lui jusqu'à sa chambre mais l'idée même de se retrouver près de son lit en compagnie de Miles arrivait à l'effrayer. « Au cas où vous ne l'auriez pas encore remarqué, je ne suis pas une prostituée Monsieur Duncombe. Et si la condition sine qua non de mon engament consistait à écarter les cuisses en votre présence, je préfère encore m'en aller sur-le-champ. » Sa voix trahissait son état de colère et son regard se faisait persan. Elle haïssait sa manière de faire, de la forcer à supporter sa compagnie alors qu'elle n'en avait pas la moindre envie. « Vous n'auriez pas dû transmettre ma candidature à votre père... Surtout si ma seule qualité pour ce travail est que vous vouliez me sauter. » Chaque mot était prononcé avec une rage certaine. La demoiselle avait du mal à rester en place et elle se retenait de le gifler. Oui sa main avait envie de partir, s'abattre sur le visage dégoutant de Miles Duncombe. Oona s'était bien trompé sur le compte de son employeur. Elle l'imaginait comme un homme qui avait été attiré par son travail rigoureux et non pas le fait qu'elle était l'en cas du jour pour le fils de la famille.

Bon retour parmi nous
(Je t'ai contactée pour la fiche )

Merci beaucoup à vous trois

Avery merci pour le mp

Donc, évidemment, tout est bon!
On valide!

Merci beaucoup booker

Virgil merci beaucoup également

gabriella est toujours aussi hot