wake me up inside + aidan

aidan jivan wainwright
{i'm the monster under your bed.}
© universal-gravitation/tumblr/citation

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prénom, nom : a.j. n'a pas deux prénoms. ce sont deux cultures, deux personnes bien différentes qui se disputent la place. d'un coté il y a aidan, l'écossais au coeur d'or et à l'ambition sans faille. un garçon bien dans sa peau, un homme qui sait ce qu'il veut. aidan c'est le fils idéal, l'avocat à la cravate parfaitement nouée et au sourire de coureur. de l'autre, jivan. le garçon aux épices, le gamin charrié parce que pas assez brun, parce que pas assez anglais non plus. le garçon manipulateur, au caractère bien trempé, au culot sans limite. deux cultures, le nord et le sud. deux monde qu'il abrite comme il peut, assumant parfois l'un, parfois l'autre. parfois les deux auprès de ses proches surtout. mais son identité n'est pas complète sans le nom de wainwright. ce nom, il a apprit à l'apprécier. un nom porté par bon nombre de flammes. des hommes au tempérament de feux, des garçons passionnés par la bagarre, la bière et les filles. âge, lieu et date de naissance : l'homme est né à londres un trois décembre mille neuf cent quatre vingt huit. flocon d'hiver, ses vingt-sept ans arrivent à une vitesse vertigineuse et avec eux, la course vers les trente ans. quand on regard son parcours, on sourit. il est brillant pour son âge, ce qui en agace plus d'un. origine et nationalité : c'est à n'y rien comprend comprendre lorsqu'on le regarde. si ses yeux sont d'un noir profond et ses cheveux de jeans, peu se doutent au premier regard que sa mère est punjabi. son frère est bien plus typé, assurément. lui il a prit du père, de l'écosse. une copie parfaite du paternel minus les yeux, il est l'anglais de souche, celui avec les ancêtres du fin fond du pays. une mélange qui se ressent cependant dans son caractère. à Londres depuis : aidan a vu le jour à londres. c'est big ben qui a bercé ses sommeils, c'est de bus rouge qu'il a rêvé enfant, c'est du shakespeare qu'il a lu depuis tout petit. un londonien heureux, un londonien comblé. d'ailleurs, il ne comprend toujours pas ce que ses parents sont allé faire en france. il y a passé cinq ans, cinq longues années loin de sa ville adorée. aidan, il ne se voit pas ailleurs. londres c'est son sang. occupation : brillant, c'est ce qu'on dit de lui. il l'a toujours été, il y était destiné. fils de chirurgien et d'avocat, il a toujours été poussé vers le haut. si la science n'a jamais été son truc, c'est vers le droit qu'il s'est tourné. étudiant, il réalise désormais son stage dans le bureau de sa mère, se spécialisant ainsi pour le droit international. son ambition ? prendre la place de sa mère adorée dans le cabinet. aidan n'est pas du genre à rêver petit. il veut aller haut, si haut, et rire de ces petits gens sous ses pieds. ambitieux, il se présente déjà comme tel : avocat. dans un an, il validera son travail. dans un an, tout sera officiel. le droit international, c'est une ambition bien grande d'après certains, un rêve fou d'un prétentieux détestable pour d'autres. mais défendre des vieilles dames au sac à main arraché, ça ne l'intéresse pas. non il veut briller toujours, encore. si il s'est tué à la tache c'est pour que son nom reste. le droit international, ça brille c'est beau. ça ouvre les portes des réceptions, du caviar et des vacances au soleil. statut civil : l'homme est seul, la tête pleine de pensées. du genre à enchainer les conquêtes, toujours plus belle que la précédente. il a eu une véritable relation, un jour. il était amoureux. il avait déjà tout prévu, tout. deux avocats feignant sur le monde du droit londonien, deux partenaires à la ville comme au bureau. des enfants, tous élevés dans la plus pure tradition anglaise. une maison immense en centre ville, une autre à la campagne. de la passion, de la tendresse aussi. dans sa tête, il ne se voyait pas ailleurs qu'à ses cotés. elle a préféré s'enfermer dans ses fantaisies stupides, elle a préféré casser ce rêve si parfait. il ne l'avait pas revu depuis ça, depuis cette déception. mais voilà, la vérité est là. lya est encore dans son coeur, et il se demande ce qu'aurait été sa vie avec elle. orientation sexuelle : l'homme aime les femmes, il les adore. sensualité. c'est son mot d'ordre. luxure. sa religion. collectionner les baisés et les caresses. son activité favorite. cliché ambulant de l'homme affamé ? surement, un loup sortant de sa cage. quartier de résidence: une stupide envie de refaire entièrement son appartement luxueux à chelsea et voilà qu'il se retrouve expatrié de son cher chez lui pour des mois et des mois. en attendant, c'est chez son frère à soho qu'il loge. une vie qu'il n'assume pas forcément mais qui lui convient malgré tout. son frère n'est-il après tout une autre forme de lui même ? la vérité, c'est qu'il a beau ne pas supporter les manies et les niaiseries de son ainé, celui-ci efface cette solitude qu'il ressent constamment. statut financier, groupe : seeds of gold. l'homme gagne bien sa vie, une des raisons pour laquelle il s'est décidé pour le droit international d'ailleurs. aidan, il a grandit dans l'opulence et le luxe. il refuse de s'en éloigner. ça fait de lui un monstre d'après certains, que ce besoin d'argent, de pouvoir. mais l'homme répond toujours la même chose : pourquoi ne pas vouloir le meilleur, le plus beau. son argent ne fait pas son bonheur, mais lui permet de se faire plaisir. la bagnole, l'appartement, la montre de hors de prix et les costumes sur mesure. son existence, il l'a vit dans le luxe et pas autrement. traits de caractères : manipulateur + orgueilleux + ambitieux + dévoué + optimiste + fidèle + loyal + discret + un poil narcissique

pseudo, prénom : toujours le même   . âge, région et/ou pays : majeur et vaccinée, et en plus tout ça dans le pays du fromage, du vin, de l'amour et des crêpes. où avez-vous découvert BITS ? il est apparu dans mes fav safari, j'sais pas comment. personnage inventé ou scénario ? c'est le scénario de la belle lya. votre avatar : ben barnes, parce que pourquoi pas ? j'veux dire, faut savoir se faire plaisir. commentaire, petit mot : TAVU KOMEN J'SUI BO ?

Code:

<f3>Ben Barnes</f3> - aidan wainwright

{that tears have drawn your dreams}
étendu dans les draps blancs, il pense. son coeur bat à un rythme régulier, berceuse tendre qui se mêle à son souffle apaisé. son regard perdu au plafond est vide de la moindre émotion. dehors, la ville semble respirer doucement. endormie. le soleil ne devrait pas tarder à se lever et le ciel a prit cette couleur grise qui le caractérise au petit matin. la fenêtre grande ouverte fait entrer une air douce, rafraichissante. souffle paisible sur son corps laiteux. en bas, la rue et déserte. pas un chat, pas un enfant, personne. la paix. Aidan soupire, ses doigts viennent frôler son torse nu, touché instinctif, geste machinal. tout est parfait. dans l’appartement, une odeur de fleurs vient égayer ses sens et les tentures mauves qui viennent balayer le sol sous l’effet de la brise donnent au tableau un air magique. une impression que rien ne pourra jamais aller mal. que tout est à sa place. le bruit des draps vient le tirer de ses pensées et il tourne la tête vers le corps immaculé étendu à ses cotés. les mèches brunes de la jeune femme viennent encadrer son visage détendu. la belle est endormie, sa poitrine vient monter et descendre sous l’impulsion de son souffle rêveur. elle lui semble si belle soudainement. le brun ne parvient à décrocher son regard de cette silhouette pâle. élancée. fine. parfaite en tout point. un sourire vient gagner son visage et il se tourne vers elle de tout son corps, laissant le drap qui le couvrait jusqu’alors quitter sa peau pour découvrir son corps nu. il la regarde, éblouit. comme toujours. il sait qu’elle ne se réveillera pas encore. il sait qu’elle a le sommeil lourd, il adore ça. parce que lui n’aime pas dormir. lui préfère vivre, voir. parce qu’il sait qu’elle n’est jamais aussi belle que lorsqu’elle est étendue à ses cotés, là. bientôt le réveil sonnera, et ils seront obligés de se lever. de repartir à la conquête de ce monde qu’il admire. retourner en cours, faire leur devoir. mais pas tout de suite. pour l’instant tout ce qui compte c’est Lya, étendue à ses cotés, et ce bonheur qu’ils ont construits tous les deux. un bonheur fait de pouvoir, de passion, d’amour aussi.  

serveuse dans un bar. Lya est devenue serveuse. c’est pour ça qu’elle l’a quitté, pour vivre une vie de servitude et de défaites ? c’est pour lâcher son plus grand rêve qu’elle l’a foutu dehors ? l’homme est furieux, l’homme est dégouté. mais il rit, trop heureux d’avoir eu raison. il a envie d’y aller, de l’écraser. de la faire sentir moins que rien, comme lorsqu’elle a mit fin à leur relation. une vengeance pour celle qu’il dit ne plus aimer. cinq ans qu’elle l’a quittée pour une raison stupide, ridicule. elle a voulu vivre son rêve, et voilà où ils en sont. elle sert des alcooliques dans un bar miteux, et lui est en passe de devenir l’associé de sa mère. un avocat reconnu. un génie du barreau comme on dit déjà dans les réceptions auxquels il participe. c’est une gifle qu’il veut lui assener, elle aux rêves trop stupides. une saltimbanque, une souillon. une artiste de cirque sans avenir. danseuse, vraiment ? avec leurs moeurs légères, leurs emplois précaires et leurs corps torturés. aucune chance pour qu’ils ne l’acceptent aussi facilement, déjà à son âge. pas assez douée, pas assez jeune. il a aimé la regarder danser. mais danser, c’est un passe temps. une activité parmi d’autres. pas un métier, un véritable. aucune reconnaissance pour la danseuse au fond de la salle, le même tutu que les autres, les bras en l’air et les pieds abimés. en restant à ses cotés, en restant dans le droit, ils auraient pu devenir les maitres du monde. mais avec la danse, c’est lui qu’elle a fini par abandonner. le choix entre cette vie parfaite qu’il lui offrait, et ses rêves de petite fille gâtée. et maintenant, la voilà serveuse. il est en colère Aidan, il est dégouté. mais il rit, parce qu’il sait qu’il a eu raison. il sait que malgré sa passion, la jeune femme doit encore trimé comme une employée pour pouvoir vivre quand lui n’a qu’a claquer des doigts. il rigole, et il entre dans le bar, persuadé que sa rancoeur et son détachement suffiront. et puis il l’a voit. et puis il a mal. mal parce qu’il se souvient l’amour qu’il a pour elle et le manque dont il souffre. monstre au coeur tendre. grand amoureux. faible. ses traits se détendent. la colère s’en va, laisse place à de l’admiration. pour ce visage manqué, cette peau réclamée, ce corps gardé en mémoire. il reste planté là, au bar. incapable de dire quoi que ce soit. et puis au bous d’un moment, elle le remarque et il s’assoit dans un silence peu rassuré, la fixe autant qu’elle le fixe. des retrouvailles pas assez bien préparé il faut croire. il la revoit, rouge de colère, faisant son sac et quittant l’appartement. il voudrait lui en vouloir. au lieu de ça, il lui sourit. « ça pour une surprise… » menteur. il a entendu dire qu’elle bossait là. rectification. il s’est arrangé pour que l’on se renseigne. il l’a toujours fait, engager des personnes pour avoir de ses nouvelles, pour garder une trace. il joue l’ignare, mais il sait. il sait qu’elle en voit un autre, il sait qu’elle danse encore parfois, il sait tout ce qu’il réussi à toujours savoir. il lui sourit pourtant, fasciné par ce visage qu’il n’est parvenu à oublier en cinq ans. « je suis content de te revoir. » sincérité. première phrase dite avec le coeur depuis des années. il ne sait pas pourquoi. quand Lya est dans les parages, il se permet d’être lui même. d’oublier le requin. un homme avec un coeur. elle sourit, gênée. elle le sert. elle accepte de répondre lorsqu’il lui adresse la parole. et voilà que le temps s’arrête, qu’ils retournent dans le passé. cette époque où ils n’avaient plus fait qu’un. et ils parlent, parce qu’ils ont encore ça. deux enfants amoureux, puis deux étrangers. deux âmes et une mémoire.  

« va te coucher aidan, il est tard. » les yeux réprobateurs, le sourire en coin, elle le fixe. le coeur du brun manque un battement, comme toujours lorsqu’elle pose ces yeux là sur lui. il baisse les yeux vers son verre presque vide, et soupire. « très bien, je me casse si c’est ce que tu veux. » elle rigole. il boit les dernières gouttes d’alcool. elle range les dernières bouteilles, prête à fermer. dehors, la pluie bat les rues vides. le ciel est noir. pas d’étoiles à l’horizon. dans le bar, personne. plus qu’eux deux, des chaises vides et un silence apaisant. il se dit qu’elle est belle, puis se reprend. plusieurs semaines qu’il est entré ici dans l’idée de lui jeter à la figure toute sa réussite, toute sa splendeur nouvelle. tout ce qu’elle a foutu à la porte. il n’en a pas été capable. à la place, il est resté et a vu. il a regardé la brune, l’a écouté, et s’est retrouvé subjugué sans avoir le temps de dire ouf. comme au premier jour, la maturité en plus. comme un gamin, l’expérience derrière lui. alors il se lève quand elle enfile sa veste, remet son porte feuille dans la poche arrière de son pantalon, et se prépare à partir. un dernier regard sur elle, comme toujours. elle est si belle, si jolie. il l’attends, prêt à la raccompagner sous la pluie. elle lui passe devant et Aidan lui attrape la main, hypnotisé par ses sentiments, obligés par son coeur trop faible face à ses grands yeux de biches. elle semble surprise, elle le fixe sans comprendre. lui ne peut détacher ses yeux d’elle. lui a arrêté de respirer depuis longtemps, trop concentré. il la tire avec douceur vers lui, vient enrouler son second bras autour d’elle, le corps qui s’arque pour se rapprocher. bientôt, leurs souffles se mêlent. il reste pourtant interdit, si proche et si loin de ses lèvres gourmandes. elle peut encore s’échapper si elle le souhaite. il ne fera rien contre, il ne luttera pas. mais elle ne fait rien et reste là, à le fixer. muets tous les deux, interdits. incapable d’oser, pendant un instant encore. alors, comme elle reste là à le regarder, il se jette à l’eau. Aidan embrasse Lya, ses paupières viennent se fermer et les sensations perdues reviennent. une explosion. une nouvelle vague de bonheur vient le happer quand elle répond à ses baisé. alors les deux corps fusionnent, la passion passée revient à la charge et les bouleverse tous les deux. une étreinte qui lui semble éternelle. un baisé plein de promesses pour lui. et puis soudain, elle recule, biche affolée. « Je ne peux pas faire ça… » « Lya… » pas le temps, voilà qu’elle quitte son étreinte et qu’elle fuit. Aidan se précipite à sa suite. « Lya ! » mais non. elle s’en va. sa colombe fuie. alors il s’arrête, le souffle court, le regard au loin. le coeur au bord des lèvres. le cerveau en ébullition.

Spoiler:

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Booker Atkins a écrit:

J'espère pas, hier, j'ai établi le fait dans ma tête que Booker savait probablement pas se battre
Un pauvre petit agneau sans défense

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Ça sent la bromance, moi j'dis