BOBBI | Wine is bottled poetry. (DELAIS JUSQU'AU 19/08)

prénom, nom : Tout ce qu'elle sait de sa mère, c'est qu'elle a voulu lui donner un prénom anglais et facile à prononcer. La seule chose, c'est qu'elle s'est un peu mélangée les pinceaux entre prénoms féminins et masculins. Avec un prénom tel que Bobbi, la vie n'a pas été facile tous les jours. Son nom de jeune fille n'est autre que Figueroa, mais elle va aujourd'hui avec le nom Hiddleston qui lui vient de son premier mariage. âge, lieu et date de naissance : Bobbi a aujourd'hui trente-cinq ans, elle est née le 02 mai 1980 à Santiago, Chili. origine et nationalité : Étant née au Chili, elle est d'origine et de nationalité chilienne. Mais elle est arrivée toute petite en Angleterre et la nationalité anglaise lui a également été accordée. à Londres depuis : Elle est arrivée en ville l'année de ses deux ans, elle ne s'en rappelle même pas. occupation : Bobbi est chef cuisinière au restaurant The Princess of Shoreditch depuis maintenant huit années. statut civil : Elle est en couple avec un homme, Max, très attentionné qu'elle apprécie énormément. orientation sexuelle : Bobbi est et a toujours été hétérosexuelle, ce n'est visiblement pas près de changer. quartier de résidence: Elle vit à Bloomsbury avec son homme, il voulait qu'ils s'installent dans un quartier tranquille et paisible pour démarrer, ce qu'il espère être, une vie de famille. statut financier, groupe : Bobbi a grandit dans la précarité, mais elle s'est toujours battue pour obtenir ce qu'elle voulait. Le manque d'argent n'est pas un problème pour elle, mais Bobbi peut enfin apprécier de vivre avec un revenu stable et agréable depuis quelques années. Elle fait donc partie du groupe des passengers. traits de caractères : Bobbi est une femme qui inspire la douceur et la confiance. Elle est attentionnée, à l'écoute, douce, gentille. Ce qui lui a souvent valu d'être mal comprise par les autres qui la pensaient naïve et facile à déjouer. Alors qu'en vérité, Bobbi a une grande force de volonté, c'est une battante, elle n'a pas sa langue dans sa poche, elle déteste la discrimination, elle se bat pour le droit des femmes, jamais elle ne s'est laissée marcher sur les pieds. Elle est débrouillarde et n'hésite pas à tenir tête face aux plus forts qu'elle. Bobbi est une tête brûlée. Elle est impulsive, elle écoute son cœur avant d'écouter sa raison.

{So much stuff you got to understand}
Bobbi ne conçoit pas de démarrer une journée sans un bon petit déjeuner. Elle est même prête à sacrifier un bon maquillage contre un petit déjeuner. Enfin presque. En fait non. + Son petit rituel du soir est de prendre une douche trente minutes exactement avant d’aller se coucher. Ainsi, elle est toute fraîche pour aller au lit et elle dort mieux. + Parfois, elle a vraiment l’air obsédée par la nourriture. + Bobbi n’a quasiment pas connu sa mère, elle s’en rappelle à peine. Celle-ci est morte peu avant ses trois ans. + Elle est née au Chili mais est arrivée en Angleterre l’année de ses deux ans. Peu d’un an plus tard, elle entrait dans le système juridique des enfants orphelins. + Son père est totalement inconnu au bataillon. On ignore son nom, on ignore s’il est encore en vie ou non. + Bobbi n’a jamais été adoptée. Certains enfants plus vieux l’appelaient la brebis galeuse. + Elle vit depuis très récemment avec son copain. Ils sont ensembles depuis plus de trois ans mais elle vient seulement d’accepter de vivre avec lui, depuis deux mois. + Bobbi ne lui a jamais avoué qu’elle avait été mariée et qu’elle a eu un bébé par le passé qu’elle a fait adopter. + Il lui arrive encore souvent de se réveiller la nuit, sueur froide dans le dos, en pensant à ce bébé qu’elle a abandonné et en se demandant ce qu’il est devenu. + Elle sait juste qu’il s’agit d’une fille. Mais même ça, elle aurait préféré l’ignorer. + Bobbi n’a jamais dit à Max qu’elle l’aimait. Elle se contente de lui répondre moi aussi lorsqu’il lui dit qu’il l’aime. Elle n’est même pas sûre de ses sentiments. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle tient énormément à lui. + Bobbi s’est faite émanciper à ses seize ans. + Elle ne parle pas beaucoup de son passé, surtout pas de son enfance. Elle est assez discrète. + Bobbi ne s’est jamais pardonnée d’avoir abandonné cet enfant, surtout après ce qu’elle-même a vécu toutes ces années au foyer. + Elle ne veut pas d’enfants – malgré que Max commence sérieusement à vouloir aborder le sujet – car elle a peur d’être une mauvaise mère. + Bobbi se balade toujours avec un bouquin dans son sac. Ainsi qu’un couteau suisse. + Deux à trois fois par mois, elle va faire un tour dans les foyers pour orphelins afin de leur apporter des bons plats à manger et de leur redonner un peu d’espoir et le sourire. + Elle verse également une somme assez importante une fois par mois à une organisation qui aide les enfants orphelins. + Même si elle venait à perdre tout ce qu’elle a, Bobbi continuerait de leur donner de l’argent. + Elle a un petit chien blanc au poil hirsute qu’elle a sauvé de la SPA deux ans plus tôt, appelé Saucisson. + Bobbi a toujours adoré danser. Et étant donné qu’elle mange beaucoup – soyons honnêtes – elle fait beaucoup de sport pour se maintenir en santé. Notamment du pilates. + Elle fumait quand elle était jeune, plus maintenant. Cela dit, l’odeur de la cigarette a tendance à l’attirer. Max la compare à Chandler Bing à cause de ça. + Elle aime les dimanches passés en pyjama devant la télévision. + Bobbi aime le rock. D'autres genres aussi mais celui-ci reste son préféré. + Elle aime écouter des musiques très fortes et chanter à tue-tête. + Très souvent elle chante et danse chez elle en petite tenue ou en faisant le ménage. + Elle oublie que parfois les fenêtres sont ouvertes et que les voisins peuvent la voir ou l'entendre. + Elle essaye assez souvent d'aller à des concerts ou des festivals. + Max ne connaît pas la Bobbi complètement délurée qui saute dans tous les sens sur un vieux disque des Stones. + Il sait juste qu'elle aime la musique, mais il ne l'a jamais vu devenir dingue à un concert. + Elle ne l'a jamais dit mais elle reproche à Max de trop la ménager. Il ne veut rien faire ou dire qui puisse la contrarier, il parle toujours d'un ton très posé. + En quelque sorte Bobbi regrette la passion qui l'animait avec Lucian, quand parfois il l'énervait tellement qu'elle pouvait briser des objets contre les murs. Et qu'il s'emportait tellement qu'il était capable de faire voler les meubles. + Bobbi aime aussi la musique latine, c'est d'ailleurs une très bonne danseuse. Elle aime ces danses là qu'elle trouve sensuelles et romantiques.

{you're my most beautiful scar}
I. Qu'elles sont les passions qui animent votre personnage ? La passion qui anime avant tout Bobbi est la cuisine, la nourriture. Très tôt elle s’est découvert une passion dans cet univers. Lorsqu’elle vivait encore au foyer des jeunes, Bobbi avait pour habitude de se faufiler dans la cuisine la nuit pour préparer des petits plats – rapides et sans bruit – pour ses camarades. Il était normalement interdit de se lever après le couvre-feu, mais Bobbi a toujours contourné les règles pour obtenir ce qu’elle voulait. Elle est aujourd’hui capable de préparer un plat en détournant la recette. Tout ce dont elle a besoin, c’est d’une liste d’ingrédients. Pour le reste, elle se débrouille. D’ailleurs, son dessin animé préféré est le film Ratatouille, dans lequel elle se retrouve.
À une époque, l’une de ses passions aurait aussi pu se caractériser sous les traits de Lucian. Pour lui, elle aurait été capable de tout, à cause de lui elle ne savait plus se contrôler. Mais cette époque est révolue. C’est le seul homme qui lui aura fait se sentir aussi vivante et perdue à la fois.
II. S'il y avait un moment clé dans la vie de votre personnage, quel serait-il ? Les années entre ses seize ans et ses dix-huit ans. À seize ans, Bobbi s’est faite émancipée pour se prendre en main. Elle a rencontré Lucian de qui elle est tombée folle amoureuse. Ils se sont mariés très jeunes, parce que ça semblait comme une bonne idée à ce moment là et que ça semblait embêté la famille de Lucian. Bobbi est tombée enceinte, elle a fait adopter le bébé. Lucian et elle ont divorcé. Elle l’a totalement perdu de vue.
III. Où se voit votre personnage dans 10 ans ? Mieux vaut ne pas y penser ! Elle aura quarante-cinq ans et Bobbi préfère autant ne pas y songer. L’avenir lui fait peur, de vieillir lui fait peur. D’autant plus qu’elle sait que Max veut fonder une famille avec elle et Bobbi n’est pas prête à faire face à ses vieux démons. Elle ne se sent pas prête à devenir mère, elle a déjà échoué une première fois.

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pseudo, prénom : catsoon âge, région et/ou pays : 23 ans, France où avez-vous découvert BITS ? via bazzart personnage inventé ou scénario ? inventé votre avatar : zoe saldana commentaire, petit mot : votre forum est très joli et vous me semblez bien accueillants    

Code:

<f3>Zoe Saldana</f3> - Bobbi Hiddleston

{that tears have drawn your dreams}


chapter 1 + the passion
L’émancipation. Ça avait pourtant l’air si simple quand elle avait mené ses recherches sur internet. Puis quelqu’un de l’aide juridique lui avait annoncé qu’il lui fallait l’accord de ses parents biologiques. Une blague. Bobbi avait alors dû prouver à tout le monde que sa mère était décédée et que son père était totalement inconnu au bataillon. Il avait donc été, de ce fait, assumé décédé également. Toute cette affaire avait duré plusieurs semaines. À certain moments, Bobbi avait même perdu espoir qu’on lui accorde son émancipation. Or, elle n’avait plus sa place dans le foyer des jeunes. Elle était devenue bien trop vieille pour être adoptée, ou même pour en rêver. De plus en plus d’enfants arrivaient et il y avait de moins en moins de chambre. Bobbi se sentait comme le vieux chien de la SPA qui devrait bientôt passer à la casserole. Elle sentait qu’il était l’heure de partir. Elle avait passé ces derniers temps à travailler, trouvant des petits boulots à droite et à gauche. Ils payaient peu, ils n’étaient pas glorifiant mais Bobbi avait pu économiser un peu d’argent. Elle avait mené ses recherches jusqu’au bout : émancipation, petit studio en ville pas trop loin de son lycée (car la condition était qu’elle continue ses études, on ne lui avait laissé aucun autre choix), et un petit boulot de plonge dans un restaurant. Bobbi aurait nettement préféré être cuisinière, mais elle savait que c’était ainsi qu’on démarrait. Et puis au moins, elle travaillait dans un restaurant (ou du moins ce qui s’en rapprochait). Elle se considérait chanceuse, car elle aurait bien pu trouver un autre boulot, comme celui de promener des chiens et de devoir ramasser leurs crottes. Finalement, après un début tumultueux, Bobbi avait réussi à obtenir ce qu’elle voulait : elle fut émancipée. Elle quitta le foyer. Son petit studio ne payait pas de mine. Bobbi n’avait pratiquement qu’un matelas et un vieux poste de télévision qui ne captait que les chaines principales. Elle avait une toute petite cuisine qui ne comportait qu’une plaque de cuisson au gaz et un ridicule petit réfrigérateur. La salle de bain n’était pas bien glorieuse non plus. Mais au moins, elle avait un toit au-dessus de sa tête. Quant à son linge, Bobbi était forcée d’aller à la laverie automatique qui était à un quart d’heure à pied de chez elle. Bien entendu, Bobbi n’avait qu’un vélo pour se déplacer. Alors une fois par semaine, elle attachait une petite remorque à son vélo et emmenait son linge sale de la sorte. Bobbi ne vivait pas une vie de luxe. Mais n’ayant jamais connu le luxe, ça ne pouvait pas lui manquer. Comment manquer de quelque chose auquel on n’a jamais goûté ?

Au lycée, tout l’ennuyait. Ce qu’elle y apprenait l’ennuyait. Mais Bobbi s’accrochait mine de rien car elle avait l’espoir de pouvoir entrer une meilleure académie par la suite dans l’idée d’apprendre la cuisine. Un rêve qu’elle nourrissait depuis de nombreuses années maintenant. Alors elle travaillait, ramenait de bonnes notes, se construisait un bon dossier pour être acceptée dans les meilleures écoles. Mais dieu sait que ce lycée l’ennuyait. Les gens y étaient peu agréables. Beaucoup d’élèves étaient là parce qu’ils n’avaient pas d’autre choix, mais clairement ils auraient préféré trainer dans la rue toute la journée plutôt que de s’instruire. La seule chose qui la motivait à venir tous les jours, la seule personne qui lui rendait le sourire après voir pénétré les murs de cet établissement était Lucian. Il était étrange Lucian. Un drôle de personnage. Il avait dix-huit ans, c’était sa dernière année ici. Mais Lucian n’appartenait pas à ce monde de pauvreté, seulement il avait réussi à s’y faire sa place. Il venait d’une famille riche. Son père était décédé trois ans auparavant et sa mère s’était remariée à un homme qui ne s’intéressait qu’à son argent. Lucian le détestait. Il avait commencé à se rebeller dès lors que cet inconnu était entré dans sa vie. Lucian avait réussi à se faire virer définitivement du meilleur lycée de la ville dans lequel il était. Son beau-père, pour lui donner une leçon, l’avait envoyé dans le pire lycée de la ville. La seule leçon que Lucian en avait tiré, c’est que même les gars qui se vantaient d’avoir tué se mettaient à se pisser dessus dès lors qu’on leur mettait un couteau sous la gorge. Lucian était fou comme ça. Il n’était pas dangereux, mais il se battait pour survivre. Bobbi et lui venaient de deux mondes différents, et pourtant dans bien des manières ils se ressemblaient. Et aussi étrange que cela puisse paraître, elle était tombée amoureuse de lui.

« Où est-ce que tu vas ? » Bobbi n’avait pas remarqué Lucian. Comme à son habitude, elle montait les escaliers qui la conduisaient vers le lycée. Elle tenait son sac sur son épaule, ses écouteurs dans ses oreilles et son walkman dans sa poche. Bobbi écoutait une chanson de Nirvana. Le son était suffisamment fort pour qu’elle n’entende pas ce qu’il passait autour d’elle. Un petit jappement de surprise lui échappa lorsque quelqu’un l’attrapa par la taille. C’était Lucian. Il la regardait d’un air amusé. Elle retira ses écouteurs. Lui tapa le bras en clamant qu’il n’y avait rien de drôle, ce qui le fit rire. « Tu vas où comme ça ? » Huit heures du matin, devant l’établissement scolaire. N’était-ce donc pas évident ? « En classe. » Un léger sourire se dessina sur les lèvres de Lucian. Il regardait Bobbi toujours du même œil amusé. « Non, je ne crois pas. » Ne comprenant rien – parce que où pouvait-elle bien aller ? – elle haussa un sourcil. « Pardon ? » « Viens, on prend un jour off. » La stupeur se lut immédiatement sur le visage de la jeune fille. Il prit l’une de ses mains dans la sienne tandis que l’autre glissa dans les cheveux de la jolie chilienne. « Oublie le lycée, pour ce qu’ils nous apprennent… Allons faire un tour en ville. Tu as toujours voulu monter sur la grande roue, je t’y emmènerai. » La proposition était tentante. Mais le lycée… que se passerait-il si son absence était remarquée ? Pouvait-on lui annuler son émancipation si elle faisait l’école buissonnière ? Lucian lâcha soudain sa main et s’éloigna d’elle. Il commençait à descendre les escaliers pour retourner vers sa moto. « Moi j’y vais. Que fais-tu alors ? » Tout dans son ton inspirait au défi. Elle se mordit la lèvre inférieure en le regardant s’éloigner. Elle était faible. Non, Lucian la rendait faible. Elle se mit à courir vers lui, attrapant sa main au passage. Un petit éclair de victoire traversa les yeux du jeune homme. « J’en étais sûr. » Dit-il avant de l’embrasser du bout des lèvres. Même pas un véritable baiser. Juste un effleurement de lèvres. Bobbi détestait quand il faisait ça, il le savait et il en jouait. Ça la rendait dingue. La demoiselle s’interposa entre lui et sa moto en posant ses mains sur le torse du jeune homme. « Quoi ? » Dit-il en la regardant en baissant la tête. Clairement, quoi qu’elle fasse, il était amusé. Elle l’attrapa par son tee-shirt et l’attira vers lui pour l’embrasser. Lucian plaça une main dans le creux de son dos et l’attira vers lui. Elle pourrait rester des heures ainsi, dans ses bras, à l’embrasser, juste avec sa présence. Mais Bobbi aussi aimait le taquiner, alors elle rompu le baiser et le repoussa. « Cette grande roue alors, c’est pour aujourd’hui ou pour demain ? » Il plissa les yeux, mimique qu’il avait régulièrement. « Hop on. » Dit-il simplement en lui tendant un casque.


chapter 2 + going through hell
Voici maintenant le moment d'écrire l'histoire de votre personnage. Nous n'imposons aucune forme à ce niveau, vous êtes libre d'écrire comme vous le désirez (journal intime, anecdotes, récit simple...). Nous vous demandons un minimum de développement et au moins une vingtaine de lignes.


chapter 3 + after the storm
Voici maintenant le moment d'écrire l'histoire de votre personnage. Nous n'imposons aucune forme à ce niveau, vous êtes libre d'écrire comme vous le désirez (journal intime, anecdotes, récit simple...). Nous vous demandons un minimum de développement et au moins une vingtaine de lignes.

zoe, tu pouvais pas faire plus belle pour une femme de trente-cinq ans et ça fait plaisir de ne pas la lire dans le rôle d'une lionne fatale et guerrière, j'aime beaucoup sa douceur, très humaine

bienvenue

Bienvenue parmi nous officiellement et très bon choix, je suis certain que tu vas nous faire un personnage du tonnerre

bienvenue parmi nous

Bienvenue

La magnifique Saldana
Bienvenue officiellement parmi nous, et bon courage pour ta fiche

Bienvenue!
J'aime beaucoup le début de ta fiche Le personnage est prometteur

zoe est tellement belle
bienvenuuuuue

Contente de voir que tu as finalement craqué
Bienvenue ma belle

Le personnage promet
Bienvenue sur BITS!

zoe
bienvenue parmi nous

zoé, quel choix
réserve moi un lien et, bienvenue

Ce choix, mama.
Bienvenue.

Nous t'accordons un délais jusqu'au 19 aout, en espérant que tu t'en sortira