lucky ones (will)

prénom, nom : il porte le nom de son père, Jones, que l'on trouvera dans bon nombre de foyers anglais. pour renforcer l'appartenance au territoire de notre chère majesté, ses parents choisirent de lui donner un prénom on ne peut plus courant et pourtant toujours élégant, William, que certains auront vite fait de raccourcir en son surnom, Will. âge, lieu et date de naissance : aujourd'hui âgé de trente-six ans (ne demandez pas dans quel état d'esprit il a accueillit le passage de la vingtaine à la trentaine), William est né dans la ville de Leeds, au cours du mois de janvier. origine et nationalité : ils sont rares, ceux qui doutent de son origine quand le jeune homme donne simplement son nom et son prénom ; comme ses deux parents et tous les autres Jones qui sont depuis bien longtemps éteints, Will est anglais. à Londres depuis : arrivé à Londres cinq ans après ses études à Oxford, William n'a plus quitté Londres depuis maintenant treize années, et semble être fait pour mourir ici. occupation : cela fait maintenant plusieurs années que William possède un club à Soho, après avoir travaillé pour le compte d'autres gérant durant ses jeunes années. Il compte actuellement en ouvrir un second. statut civil : depuis maintenant deux ans, le jeune homme semble trouver son plaisir à droite, à gauche, aux côtés de personnes rencontrées au hasard d'un bar. Ainsi, William est célibataire. orientation sexuelle : s'il s'est longtemps posé la question, ne se sentait jamais véritablement en phase avec les femmes d'un point de vu sentimental, William a découvert son homosexualité en quittant Leeds. quartier de résidence: chelsea. statut financier, groupe : $$$$$ ; seeds of gold. traits de caractères : intelligent, irrévérencieux, bosseur, amusant, moqueur, patient, loyal, opportuniste, cultivé, jaloux, rancunier.

{So much stuff you got to understand}
Will est très proche de ses parents, en particulier de son père, qu'il appelle presque toutes les semaines. Les Jones n'ont jamais quitté Leeds, une ville ayant vu défiler un bon nombre des membres de cette famille. Issu d'un milieu relativement modeste, il est le premier à avoir prétendu entrer dans une université, et avoir été accepté. L'abandon de ses études une rapide période de tensions au sein des Jones, qui s'apaisa finalement quand William trouva son premier travail ~ élève appliqué et studieux, bien plus doué avec les lettres qu'avec un ballon comme la plupart de ses anciens camarades, il doit son entrée à l'université à l'une de ses professeur de lycée qui lui mit un bon nombre de livres entre les mains, lui faisant découvrir la richesse d'une littérature que l'on étudiait pas en salle de classe. Elle le poussa à envoyer sa candidature, à se rendre à son entretient quand la simplicité de suivre la voix choisie par ses parents -possédant un restaurant- lui tendait les bras. ~ arrivé à Londres, il enchaîna les petits boulots, dans des bars, des clubs. Travailla pour de nombreuses têtes, avant de trouver celui qui devint, un temps, son amant, et propulsa sa carrière. Opportuniste et repérant facilement les tendances, Will ouvrit son premier club à l'âge de vingt-sept ans. ~ depuis qu'il est devenu riche, depuis qu'il n'a plus à craindre la fin du mois et profite d'une vie que beaucoup lui envient, ses anciens amis de Leeds vous diront avec un sourire en coin que monsieur est devenu snob. Un autre ajoutera finalement qu'il ne faut pas confondre son irrévérence avec du snobisme, que même pauvre, Will était toujours moqueur et énervait tellement que Joe lui en avait collé une à la sortie, un soir de novembre. ~ Will n'est pas un grand sportif. Mis à part le tennis qui trouve miraculeusement grâce à ses yeux, il n'aime ni pratiquer, ni même regarder le football, le rugby et autres fiertés nationales sur son écran de télévision. ~.

{you're my most beautiful scar}
I. Qu'elles sont les passions qui animent votre personnage ? Il faut bien connaître William pour l'entendre enfin parler de sa passion. Il faut pousser la porte de son appartement, s'introduire jusqu'au salon pour apercevoir cette grande bibliothèque chargée de livres aux origines et thèmes divers, rangés au hasard de ses lectures. La littérature est le premier amour du jeune homme qui, la majorité atteinte, entama des études de littérature à l'université d'Oxford, rêvant alors de devenir professeur, de transmettre cette passion à des centaines de jeunes comme lui. Il avança jusqu'au master, qu'il n'obtint pourtant pas, délaissant ses études lors de sa cinquième année par envie d'autre chose plus que par manque de potentiel, au grand damne de sa mère. S'il a tiré un trait sur ses anciens espoirs pour en embrasser de nouveau, il n'est pas rare de le trouver, en journée, un livre à la maison, assit dans un parc, dans le canapé de son salon, ou dans le métro.
II. S'il y avait un moment clé dans la vie de votre personnage, quel serait-il ? William vous répondrait sûrement que le moment le plus marquant remonte à sa première visite de Londres. Il était alors en seconde année de master, n'avait vu de l'Angleterre que le Yorkshire et dévoré la ville d'Oxford sous tous ses angles -ce qui ne lui prit pas beaucoup de temps-, quand l'une de ses nouvelles amies, originaire de la capitale, l'entraîna pour fêter son anniversaire dans les bras de Londres. C'est cette expérience, qui ne dura pourtant pas plus de deux petites journées avant de sauter de nouveau dans le train, qui fit dérailler le cours de ses projets. Il était tombé amoureux de cette ville qui ne dormait jamais, de cette ville et de toutes les possibilités qu'elle semblait capable de lui offrir. Le mois suivant, Will annonçait qu'il en avait terminé avec ses études de littérature, et louait son premier appartement, dans une des veines de Brixton.
III. Où se voit votre personnage dans 10 ans ? « régnant en maître sur Soho » sera sûrement la réponse qu'il vous donnera, accompagnée d'un léger sourire en coin, et lui évitant ainsi d'avoir à répondre sérieusement à cette question. Will ne préfère pas se projeter, il sait d'expérience qu'une opportunité peut changer en un claquement de doigt le cours de ses projets, de ses espoirs. Dans dix ans, pourtant, s'il devait se trouver quelque part, il vous répondrait à Londres, ouvrant peut-être le troisième de ses clubs dans son ancien quartier, Brixton, vivant comme un prince de sa réussite.

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pseudo, prénom : oberlyn, raphaëlle. âge, région et/ou pays : vingt-trois ans, actuellement france, sinon londres. où avez-vous découvert BITS ? bazzart. personnage inventé ou scénario ? personnage inventé. votre avatar : ian somerhalder. commentaire, petit mot : il est beau, beau, beau ce forum   .

Code:

<f3>Ian Somerhalder</f3> - William Jones

{that tears have drawn your dreams}
Il laissa tomber son sac de voyage à côté à ses pieds, dans un bruit sourd, et jeta un regard circulaire à ce petit appartement. Il n'y avait rien, ici. Pas la moindre décoration, rien d'autre qu'un lit dans une pièce annexe, qu'une salle de bain plus petite que sa chambre d'enfant, une table basse qui trônait dans sa solitude à côté d'un canapé tâché par du vin, les restes d'une soirée d'un ancien propriétaire dont il ne connaissait pas le nom. Des jeunes, comme lui, qui avaient mis un sacré boxon d'après le type qui lui avait remis les clés, précisant d'une voix sourde où perlait l'ombre d'une menace, qu'il espérait qu'il n'était pas comme eux lui, un jeune qui ferait la fête jusqu'à l'aurore et emmerderait les étages voisins. Les murs étaient vierges de présence, de photographies, de tableaux, de plantes vertes savamment disposées. Tout était à faire, comme sa vie. Ses parents ne l'avaient pas appelé depuis maintenant trois jours, eux qui décrochaient leur téléphone à la moindre occasion, pour savoir ce qu'il devenait, s'il s'en sortait dans ses études et n'était pas trop fatigué, s'il avait terminé la rédaction de son dernier devoir et allait le rendre dans les délais, s'il avait parlé à ce professeur avec qui il s'entendait bien et dont on entendait que du bien depuis maintenant des semaines, s'il mangeait à sa faim et était sûr qu'il ne voulait pas qu'ils envoient un peu d'argent. La dernière fois, il avait entendu son père entrer dans une colère mémorable. Il avait lâché le combiné, sa femme l'avait rattrapé au vol pour bafouiller quelques mots dans l'oreille de son fils. Derrière, il entendait les jurons, les regrets, les inquiétudes, et même ce qu'il imagina être un verre que l'on venait de lancer contre un mur. Tu es sûr de toi, Willy, tu es sûr de ne pas vouloir continuer à Oxford ? Il ne te reste plus que quelques mois avant d'obtenir ton dernier diplôme. Pense à ta carrière, tu aurais pu devenir professeur, inspirer des étudiants grâce à l'inspiration des autres, des auteurs enterrés depuis longtemps et pourtant toujours vivant dans leurs pages. Assis sur les bancs de l'amphithéâtre, peut-être qu'un futur Proust, qu'un futur Shakespeare t'aurait écouté, parmi tous ces visages curieux qui aurait ensuite suivi la même voix que toi. Tu te gâches, mon fils, est-ce que pour une fois tu pourrais nous écouter ? Le premier de la famille à être entré à l'université... quelle déception. Il avait soupiré, avait répondu d'une voix assurée que son avenir ne se trouvait pas devant un grand tableau noir, à se balader un livre à la main en expliquant Othello pendant le reste des années que la vie lui offrirait. Il voulait Londres, il était tombé amoureux de Londres et de toutes ses possibilités. De ces maisons victoriennes qui faisaient battre un cœur immense ; de toutes ces inspirations que l'on trouvait diverses selon les quartiers. Il s'était perdu, l'autre jour, dans le Nord de la ville, et était finalement resté dans le Sud. Brixton et ses déboires l'avaient appelé, ainsi que le petit loyer qu'il devrait payer loin du centre dans lequel se jouerait son avenir. Il n'en avait alors aucune idée, de ce qu'il deviendrait. Aucune idée des clubs dans lesquels il travaillerait, sacrifiant ses nuits pour les plaisirs de la fête, des alcools, et des drogues, regardant en souriant des milliers de types et de filles qui dansaient jusqu'à en perdre la tête sous les beats d'enceintes géantes et de DJ éclairés au néon. Il n'en avait alors aucune idée, de cette boite qu'il ouvrirait bientôt, dans quelques années, et qui deviendrait sa plus grande fierté ; de ce second club qui naîtrait non loin de son aîné pour arrondir des fins de mois déjà confortables. Que pouvait Molière, à côté de tout ça ? A côté de Soho et de Londres ? Il aurait pu parier que Verlaine aurait rangé sa plume s'il avait pu goûter à l'ivresse de la nuit, glisser entre ses lèvres un shot de vodka en écoutant un mec lui susurrer des mots incompréhensibles, des mots de mdma à l'oreille. William soupira, laissa son sac et ses affaires au lendemain, et alla s'écrouler sur le canapé. Il ferma les yeux, et un sourire se dessina sur son visage encore jeune.

IAN IAN IAAAAN
Je vais surement venir demander un lien
Bienvenue par ici en tout cas, j'ai hâte de voir ce que tu vas nous faire de lui

la belle lily dire que j'avais peur de prendre ian
le lien sera avec plaisir merci beaucoup.

Bienvenu et courage pour ta fiche

il est de moins en moins vu, j'ai l'impression et c'est tellement dommage (ce regard et ce sourire )
bienvenue à toi

J'aime beaucoup ta fiche (même si c'est cruel de faire de hier un homosexuel pour ses pauvres demoiselles )
Je te valide du coup mon mignon, avec plaisir. Tu peux donc t'occuper de la gestion de ton personnage, te trouver des liens (d'ailleurs j'ai une petite idée pour nous deux ), et commencer le rp. Bon jeu parmi nous

J'aime beaucoup le personnage (et puis Ian + l'âge réel de Ian, j'aime )
Et puis il a la tête pour avoir un club à Soho
Bref, bienvenue parmi nous!